Nouvelle polémique à l’école : sur le plateau de BFMTV face à Apolline de Malherbe, Pap Ndiaye fuit ses responsabilités concernant les atteintes à la laïcité. « Est-ce que, pour vous, l’abaya est un signe religieux ostensible ? » demandait, mercredi 4 janvier, la journaliste au ministre de l’Education nationale. Une question simple, fermée, qui n’appelle que deux réponses possibles : « Oui » ou « Non ». Pap Ndiaye bafouille, bégaie, la séance est embarrassante, confuse, Il finit par répondre : « Bien entendu, ce n’est pas moi qui vais, chaque matin, regarder des photographies de vêtements et décider si c’est à caractère religieux ou pas […]. Nous ne pouvons pas définir juridiquement ce que c’est qu’une abaya ».
Il n’y pourtant guère de doute possible concernant l’utilisation de ce vêtement ample et long porté par les femmes musulmanes par-dessus leur tenue. Tapez « abaya » dans n’importe quelle barre de recherche : la signification est bien religieuse. Alors que les atteintes à la laïcité se multiplient avec plus de 1400 signalements depuis la rentrée scolaire, le ministre laisse les professeurs et chefs d’établissement se débrouiller pour apprécier eux-mêmes le degré de provocation et négocier comme ils le peuvent. Deux ans après l’assassinat de Samuel Paty, ils sont toujours seuls.. A eux, donc, la responsabilité d’entrer en négociation avec les élèves. Deux ans après l’assassinat de Samuel Paty, les enseignants sont encore une fois livrés à eux-mêmes. Le gouvernement n’a pas retenu la leçon.
9 commentaires
Commentaire spécial pour Nicolas Lecaussin qui a fait Sciences Po Paris. Quand on sait que Mr Pape Ndiaye y est professeur des universités (ce qui ne l’empêche pas d’être une nullité radotant un discours woke éculé) , on comprend mieux la dérive de cet établissement et on peut légitimement s’inquiéter du niveau réel des étudiants.
L’arrogance de la « macronie », interdit tout apprentissage. C’est le règlement du chef qui s’applique : toujours raison même si……. la seule leçon serait une défaite aux élections et encore…
Imaginez un jeune ado pénétrant dans l’école habillé en militaire SS ??????
Cela ferait une * explosion nucléaire * chez nos élus gauchos ….. les mêmes qui mettent sous le tapis le massacre des chrétiens Yesidis de Syrie par des musulmans fanatiques idem pour les chrétiens d’Egypte qui ont subi moult attentats .
Mais tout ceci est nié par nos élus deGauche prêt à sacrifier leurs enfants pour attirer le vote musulman et garder leurs privilèges .
Mr Pap Ndiaye n’a pas besoin de se poser la question puisque ses enfants sont dans une école privée des plus huppées à Paris dans le 6ème dans laquelle jamais une seule élève a osé envisager de porter une abaya. Du reste, le règlement intérieur est très précis : « les signes ostentatoires d’appartenance à une communauté religieuse ou politique ne sont pas acceptés à l’Ecole » (9 mai 2022)
Il est pour le moins regrettable que Pap N’diaye de s’inspire pas du règlement intérieur de l’école où étudient ses enfants pour en faire bon usage et l’appliquer aux établissements publics et en principe laïcs mais l’est il lui-même ?
Au fait, a t il un lien de parenté avec la Sibeth qui porte parfaitement son prénom ?
Pap Ndiaye dehors !!!! N’oubliez pas, pour ceux qui parlent des nazis qu’à l’origine ce sont des gauchos et que le fascisme en général est souvent issu des rangs de la gauche.
Et si on remettait l’EGLISE au centre du village ??? J’avoue que pour un vieil athée comme moi ce ne serait pas pour me déplaire et on pourrait reprendre de manière apaisée et courtoise tout nos débats sur l’existence d’un dieu ou pas. L’Islam et ses rabats joies n’auront plus qu’à retourner d’où il viennent !!! Et on transformera les mosquées en musées ou salles des fêtes ou salles de sports … ou pourquoi pas sex-shops !!!
L’éducation nationale semble être un navire à la dérive.Le ministère et ses infrastructures sur le territoire apparaissent plus comme une catégorie de planqués plus ou moins politiques ou syndicalistes qui prônent un savoir faire qui malheureusement n’abouti à aucun résultat donc une réelle dégradation de l’éducation. Ses collaborateurs de terrain, les enseignants, sont abandonnés à gérer des élèves trop souvent abandonnés par leurs parents.Ils n’appartient pas à l’état d’éduquerons enfants. Il faut retrouver le chemin de l’instruction publique. En mal de considération, de respect et de rémunération, les enseignants croulent et l’enseignement croule.Outil politique l’éducation nationale n’est pas à sa place. Des années de dérive !!!!!
Bonjour,
Nous ne pouvons pas définir juridiquement ce que c’est qu’une abaya »
ET..
Ce qui circule actuellement sur le NET
il y a des histoires qui nous révèlent des logiques…..
Histoire vraie racontée par un avocat Maître Christophe Piguet, témoin de la conversation et reprise dans  » La Tribune de Genève « .
Je viens d’être témoin d’une scène extraordinaire dans le tram 12 à Genève.
¬Assise à côté de moi, une femme entièrement voilée (y compris gants et tout le tralala), seule une fente horizontale d’un petit centimètre laissait entrevoir ses yeux.
Une femme d’une quarantaine d’années, vêtue à la mode d’ici est assise en face de nous et s’adresse à elle avec douceur :
Bonjour Madame, comme vous je suis musulmane, mais je ne comprends pas pourquoi vous vous déguisez ainsi. Pourriez-vous m’expliquer ???.
Madame, ce n’est pas un déguisement, c’est le prophète qui nous demande de nous vêtir comme cela.
– Le Prophète ???. Vous êtes sûre ???. Auriez-vous la gentillesse de m’indiquer où se trouve ce texte et quel en est le contenu ???. Je vous demande cela car je ne connais pas ce texte.
– C’est dans le Coran !!!.
– Ah, j’ai lu et étudié le Coran, mais je n’ai vraiment aucun souvenir d’avoir lu le Prophète nous demandait de nous déguiser comme les femmes de la tribu machinchosebidule (là , c’est moi qui n’ai pas retenu) qui vit dans telle zone du Sahara et qui portaient ce type de vêtement bien avant la naissance du Prophète, pour se protéger des tempêtes de sable.
¬¬En plus, cette zone est très lointaine des différents voyages de notre Prophète. Historiquement parlant, notre Prophète ne devait même pas connaître cette tribu. Comment se fait-il dès lors, qu’il ait demandé aux femmes musulmanes de s’habiller dans un accoutrement qu’il ne connaissait pas ???.
– Ça suffit Madame, c’est le Prophète qui l’a écrit, je l’ai lu.
– Vous avez lu le Prophète … d’accord dans une traduction ???.
– Non, en arabe.
– Ahhh, vous lisez et parlez l’arabe très couramment donc ???.
– Oui absolument.
Là , la dame vêtue à l’occidentale se met à lui parler en arabe à grande vitesse.
La femme entièrement couverte bredouille des réponses hésitantes.
>
La femme reprend en français :
Madame, je suis professeur d’arabe et de civilisation musulmane à l’Université et je peux affirmer que vous ne comprenez rien à l’arabe. Je vous ai posé des questions dans un arabe pur et élaboré. Des questions très ambiguës, à double sens et vous n’y avez rien vu du tout. Vous m’avez répondu complètement à côté. Vous êtes née où ???.
– Je suis née ic
> Donc si je récapitule : vous portez des vêtements faits pour lutter contre les tempêtes de sable d’une petite tribu, vivant dans une certaine zone subsaharienne dont le Prophète n’a jamais entendu parler, vous avez lu le Coran, mais êtes incapable de comprendre les finesses de la langue arabe, vous y avez trouvé des instructions vestimentaires mais vous ne pouvez pas me dire quel est ce texte.
– Ça suffit Madame, vous m’agressez !!!.
– Non chère Madame, c’est vous qui nous agressez et injuriez ma religion, par votre déguisement, par votre inculture. Vous nous faites tous passer, nous les musulmans, pour des imbéciles fanatiques.
Bravo à cette femme courageuse, la vraie musulmane, c’est elle.
Et maintenant nous savons que cette « tenue » était destinée à se protéger du sable, et n’a rien à voir avec la religion, mais n’est destinée en France qu’à provoquer.
À FAIRE SUIVRE SANS MODERATION !!!.
..
En parlant du Coran, il existe de très bonnes traductions en français et si on s’intéresse à cette idéologie politico-religieuse on se les procure facilement. Je précise que les textes (sourates) laissent la place à des interprétations à qui le veut.
J’ai fait 4 années d’Arabe « classique » et je suis aujourd’hui bien incapable d’en lire ou d’en comprendre un mot.