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L’économie du Royaume-Uni en (forte) perte de vitesse

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Les mauvaises nouvelles sur le front économique s’accumulent au Royaume-Uni, contribuant à faire encore plus décrocher la proportion de Britanniques faisant confiance au gouvernement travailliste de Keir Starmer revenu au pouvoir à l’issu des législatives de l’été dernier. Un sondage récent le place même seulement en troisième position, avec 22 % des intentions de vote, derrière les Tories, remontés à 24 %, au coude à coudes avec le parti nationaliste Reform UK de Nigel Farrage.

La Grande-Bretagne semble en effet menacée de stagflation, c’est-à-dire d’inflation et de croissance économique nulle ou négative, au vu des derniers chiffes. Une enquête de référence du cabinet Standard & Poor’s, diffusée vendredi montre que les emplois sont supprimés à un rythme comparable à celui de l’après-crise financière de 2009, à l’exception de la pandémie. Les entreprises ont réduit leurs effectifs pour le quatrième mois consécutif.

Pa railleurs, la croissance a fortement ralenti au second semestre 2024. L’économie britannique n’a pas progressé au troisième trimestre et la Banque d’Angleterre s’attend à ce qu’il en soit de même pour le quatrième trimestre 2024, dont les résultats sont attendus d’un jour à l’autre. La semaine dernière, des enquêtes clés ont montré que la confiance des consommateurs et des chefs d’entreprise continuait de faiblir. Une enquête menée cette semaine par Deloitte auprès des directeurs financiers a montré que l’optimisme des entreprises était à son plus bas niveau depuis deux ans. Rachel Reeves, chancelière de l’Échiquier doit prononcer un discours important sur la croissance la semaine prochaine et a estimé jeudi, dans une interview accordée à Bloomberg à Davos jeudi, que la croissance était la « mission numéro un » du gouvernement, éclipsant le « net zero de la coûteuse transition écologique.

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5 commentaires

louis 25 janvier 2025 - 9:12 am

encore quelques mois de politique suicidaire des travaillistes et nigel farage ( grandement aidé par trump) va pouvoir envisager la victoire aux prochaines elections

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b 25 janvier 2025 - 9:39 am

Les Anglais ont eu le courage de “partir à l’aventure” mais ils ont choisi des Socialistes comme équipage. Pas étonnant si l’on verse au moindre virage . Ils n’ont pas senti le vent tourner, ce qui est étonnant pour un peuple de la mer

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Oncpicsou 25 janvier 2025 - 11:21 am

Qu’ils copient Milei et ils s’en sortiront !

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Laurent46 25 janvier 2025 - 12:25 pm

Les économies des pays étatiques, wokiste, gauchistes, adeptes des loisirs permanents et fainéants en forte perte de vitesse et les migrants assistés en forte augmentation de vitesse. Il y a quelque chose qui ne va pas bien dans cette équation, mais pas pour tout le monde semble t-il.

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Albatros 27 janvier 2025 - 5:54 pm

Le “net zéro” est largement atteint dans les domaines suivants, au Royaume-Uni comme dans les cercles de gouvernement de l’Union européenne :
– Net zéro réflexion avec des “politiques” socialistes toutes inspirées de “care”
– Net zéro science avec des âneries climatiques énormissimes qu’il faudrait réformer les principes mêmes de la thermodynamique pour qu’elles deviennent réalisables
– Net zéro économie avec le suicide industriel programmé et en cours de réalisation avec le “Green Deal”.
Etc.

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