« Il faut arrêter de manger du comté » a réclamé Pierre Rigaux, militant animaliste et écologiste radical. Dans l’émission « La Lutte enchantée » sur France Inter, il a soutenu que ce fromage qui régale les palais depuis des siècles est coupable d’écocide. En effet, il n’est produit qu’avec du lait de nombreuses vaches dont les déjections polluent les sols et qui sont ensuite conduites à l’abattoir dans d’horribles souffrances : double crime ! Amateurs de comté, Rigaux nous accuse d’inhumanité envers les bêtes.
Dans une émission de LCI le 12 mai, Luc Ferry, approuvé par Cohn-Bendit, se déclarait très préoccupé par la souffrance animale et demandait de « réfléchir à des alternatives à la viande et aux souffrances animales ». Il condamnait également la chasse, vestige d’un âge où elle était un moyen de se nourrir. « Le chevreuil et le lapin, c’est la même chose que son chien ou son chat » observait-il. Il n’y avait plus qu’un pas pour comprendre qu’on pourrait être assimilé à un anthropophage en mangeant du poulet. « […] la souffrance des animaux évolués (l’huître et le chien ne soulèvent pas les mêmes problèmes…) est tout aussi réelle que celle des humains, de sorte qu’elle devrait être prise en compte et respectée dans le droit » avait-il déjà écrit dans le Figaro Vox, oublieux du Code civil qui reconnaît déjà l’animal comme « être vivant doué de sensibilité » (nouvel article 515-14) et la jurisprudence qui s’attache au respect de cet article.
Un droit pour les animaux ?
Cette assimilation des animaux et des humains s’étend. De par le monde, des juristes soutiennent que doit être reconnue aux animaux une personnalité juridique pour la seule raison qu’ils sont sensibles et souffrent[1]. Le droit animal est étudié à l’université dans divers pays tels que le Canada et l’Australie, mais aussi le Brésil, le Kazakhstan, l’Espagne, la Suisse, la Finlande, la Pologne, le Royaume-Uni… En Suisse, le Code civil traite du sort des animaux comme de celui des enfants depuis une loi du 4 octobre 2002. Les droits de la Terre Mère ont d’ores et déjà été reconnus par les Constitutions de la Bolivie et de l’Équateur. En Nouvelle Zélande, le fleuve Whanganui a été reconnu par le Parlement comme une personne. Michel Serres voulait que « les objets eux-mêmes deviennent sujets de droit[2] ». Il n’y a qu’un pas pour mettre les arbres et les hommes à égalité. La nature n’est plus au service des hommes, c’est plutôt l’être humain qui est assujetti à la défense de la planète. Il faudrait donc désormais protéger la diversité biologique et le climat pour eux-mêmes, et pas seulement pour le bien-être des hommes.
Cet animalisme ou autre anti-spécisme est une attaque en règle contre notre civilisation au nom d’un égalitarisme fanatique dont Rousseau en effet a été précurseur. Il nie la notion même de nature humaine. A défaut de pouvoir faire des animaux, des hommes, il fait des hommes, des animaux.
Ce naturalisme est un retour au panthéisme qui immergeait l’homme dans la nature au point de l’y confondre et qui divinisait la nature de telle façon qu’il empêchait l’homme de s’y livrer à un travail scientifique puisque c’eût été une atteinte aux dieux eux-mêmes qui peuplaient et constituaient cet univers. En dissociant Dieu du monde qu’il a créé et en reconnaissant la liberté de l’Homme pour accomplir la création divine, le judaïsme, puis le christianisme, ont permis cette distanciation nécessaire à l’étude objective de l’univers qui marque véritablement la séparation d’avec le monde antique et l’ouverture aux temps modernes. À l’inverse, cet égalitarisme forcené qui pousse jusqu’à l’égalisation des hommes avec les mondes animaux et inertes, en leur accordant à tous des droits similaires sinon identiques, conduit à déshumaniser l’homme, à le mettre au niveau des cailloux et des rats. C’est une abêtisation de l’homme au mieux et une chosification au pire.
En abolissant les différences entre les animaux, les hommes et les objets, c’est l’étatisme qui se renforce
La sensibilité au plaisir et à la douleur, l’instinct maternel, la capacité à trouver de la nourriture ou un abri ne suffisent pas à définir une personne. A l’inverse de l’animal sans conscience de lui-même et sans libre arbitre, l’homme s’éveille à lui-même en prenant conscience de sa différence et de sa responsabilité, en comprenant qu’il est un être capable de raison, à la fois libre et social, susceptible de maîtriser ses choix au-delà de ses instincts.
Donner des droits aux animaux et autres éléments naturels conduit naturellement à confier à l’Etat la charge de défendre ces sujets de droits incapables d’agir pour eux-mêmes. C’est un nouveau moyen d’engraisser Big Brother et de nous soumettre. Nous pourrons alors être coupables de pulvériser de l’insecticide contre les mites dans nos placards, de tuer les moustiques et les serpents innocents… Nos enfants ne pourront plus chasser les papillons. Et quand le droit protégera les choses, l’État veillera à ce que nous ne coupions plus de fleurs. Peut-être faudra-t-il renoncer à utiliser tout le sable qui permet de construire des maisons en béton. Un retour à l’âge des cavernes sans plus pouvoir, pour se nourrir, tuer les carnassiers qui nous menacent ? Déjà d’ailleurs nous devons subir les loups et les ours.
En abolissant les limites entre l’homme, l’animal et les objets, l’égalitarisme rendra possible une monstrueuse régression. Sans avoir attendu la loi, la morale chrétienne condamne les souffrances gratuites infligées aux animaux. L’Etat de droit partagé par les démocraties libérales s’est lui-même construit sur le respect humain qui est nécessairement aussi celui de son environnement et ne saurait être assuré sans s’étendre à celui de la nature animale, végétale, physique.
[1] Cf. mon ouvrage Eloge de l’inégalité, Les Belles Lettres – Manitoba, 2019, chapitre 4.
[2] Michel Serres, Le Contrat naturel, Paris, Flammarion, coll. « Champs », 1992, p. 66.
28 commentaires
“…il n’est produit qu’avec du lait de nombreuses vaches dont les déjections polluent les sols….”
Tiens donc, je croyais les écolos partisans de la fertilisation naturelle à base de bon fumier ou compost, à rebours des épouvantables engrais chimiques ….
Je pense que l’explication est beaucoup plus simple : Un certain nombre de frustrés (cf A. ADLER) ont besoin de faire parler d’eux pour masquer l’insignifiance de leur existence. 8 milliards d’habitants + les vaches, fussent elles sacrées les ignorent et c’est très bien ainsi !
L’anomalie, c’est de vouloir imposer sa vision aux autres. À chacun de suivre ses préférences et l’on verra qui et quels groupes vont mieux.
Dans l’affaire du Comté, il manque l’argument montrant en quoi le Comté est plus “mauvais” que les autres fromages qui n’existent que parce que l’on capte du lait de la maman à qui l’on a fait porter un bébé qu’il faudra manger pour équilibrer la chaîne complète. (Certains éleveurs arriveraient à maintenir la lactation sans nouvelle naissance).
À quand les plantes ?
Le jour où un autre hurluberlu défendra la cause des l’antes n’est pas loin. Elles aussi naissent, grandissent, puis sont sauvagement arrachées pour nourrir des humains …. lol
La société liquide : plus de limites , plus de frontières et ce quelque soit le domaine . Le message est le salut dans la chute dans le puits sans fond du nihilisme, l atomisation faite reine (et encore , ils s’attaqueront aux atomes , pour sûr). Le retour pré création en quelque sorte . Incroyable ce qu’il se passe quand on retire la pierre angulaire. C’est tout à fait fascinant .
Un extrémisme en chasse un autre !
Ne peut on pas enfin reconnaître que l’homme a, de part sa “spécificité”, des devoirs et surtout une responsabilité envers notre planète et tous ceux qui y vivent et la composent sans sombrer dans l’extrémisme, l’un de penser que nous n’avons aucun droit sur la nature, l’autre de défendre la suprématie humaine sur la nature et ceux qui la composent ?
En tant qu’être “supérieur”, il serait peut être temps que certains esprits humains, rétrogrades et obscurantistes, élèvent leur champ de vision et prennent conscience de leur point de vue ancestral.
La Terre nourricière n’a pas été créée pour être au service de l’homme (et ce n’est pas ce que les religions nous ont enseignés). Elle est, elle même, dans son ensemble, un être vivant composé d’innombrables écosystèmes interdépendants que l’action de l’homme, fort de son savoir scientifique, n’a que trop perturbés et détruits, convaincu qu’il est, que la planete lui appartient. Ni la Science de l’homme, ni l’Etat ne sont pas parvenus à empêcher le retour en arrière que nous vivons avec l’ensauvagement de nos sociétés (pourtant “humaines”…).
La vraie question est celle du monde (et de la planète) que nous voulons laisser à nos enfants et aux générations futures. Celui du respect des êtres (quelqu’il soit) et des choses ou celui de la désolation.
Penser confier cette tâche à l’Etat est déjà un échec.
Faire évoluer l’éducation (qui est d’abord la responsabilité des parents avant celle de l’Etat) et les mentalités, répondant à de nouvelles valeurs, est devenu indispensable et urgent compte tenu de notre croissance démographique et de l’impact de celle-ci sur tout ce qui nous entoure.
Que ceux qui s’y refusent, aillent et se retrouvent sur Mars ! ils gagneront quelques décennies de progrès humains
et apprécieront probablement cette belle planète accueillante où un jour, nous dit-on, il y a eu de la vie….
Voici bien la “théorie” qui exhale cette idéologie malfaisante et extrémiste qui nous enfonce chaque jour un peu plus vers l’abyme de l’écologie mal interprétée. Vous qui dissertez si bien, savez-vous que notre planète, être vivant s’il en est, dispose elle aussi d’un “système immunitaire”, et le jour venu, à l’échelle de l’humanité, et quand elle aura décidé qu’elle est trop parasitée par cette espèce, elle s’en débarrassera selon le moyen qui lui conviendra. Ainsi disparaitrons nous, et une nouvelle vie prendra forme, et occupera le terrain car la Nature a horreur du vide. Alors l’écologie et ses théories… ça ne fait même pas rire.
👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻👏🏻
Merci. Merci. Merci.
Il est tellement agréable de lire quelque chose d’intelligent et simple entre tous ces commentaires “liberté d’expression” sans intérêt et souvent effrayants, de bêtise, et de violence.
Foutez nous la paix avec vos croyances religieuses!
Quelles croyances ? Aujourd’hui la science en conscience vaut bien plus que votre idéologie libérale libertaire (votre religion)
Vous avez tout à fait raison, vous êtes modéré mais vous semblez encore déranger des extrémistes anti écolo dans cette section.
Lisez d’abord mon long commentaire pour vous faire une opinion éclairée.
Qu’il vienne toucher à mon comté, je l’attend de pied ferme. Quand à la souffrance des animaux qu’on abat, c’est surtout vrai avec l’abattage halal ; ose-t-il s’y opposer ? Certainement pas, ce serait trop risqué pour lui, plus facile de s’attaquer au comté, cela m’étonne qu’il n’ait pas proposé, comme sait si bien le faire la gauche, une taxe spéciale sur le comté pour compenser ce qu’il dénonce.
Ça sent pas le fromage mais bien le populisme de droite franchouillard et raciste…
Qui veut tuer son chien l’accuse d’avoir la rage, qui veut introduire la censure accuse de racisme. Vous en êtes toujours là ! Affligeant non ,?!
Tant que nous ne nous REVOLTERONS pas contre ces “minorités”, elles en prendront de plus en plus à leur aise, et n’auront de plaisir que de perturber nos vies.
Il faut, à l’instar d’une dent pourrie, les extraire avec violence pour retrouver la paix.
Sous prétexte qu’ils ne sont pas nombreux, et tous cantonnés pour la majorité, en milieu urbain, on les ignore. Et bien NON ! Il faut les débusquer, et les chasser jusqu’à extinction complète.
Marre de ces rêveurs qui ne connaissent rien de Mère nature, mais qui veulent nous l’enseigner !!! DEHORS !
S’il fallait une preuve que ces gens sont fêlés en voila une parfaite démonstration. Les vaches sont un danger pour la planète!
Monsieur Rigaux qu’est-ce que vous nous ra…comté ?
Les esrologistes ne savent plus quoi inventer pour se faire remarquer !!!
Merci pour votre très bon article qui remet des pendules à l’heure. C’est un plaisir de retrouver un point de vue philosophique sain et équilibré sur ce sujet, loin de dérives conduisant à un renversement de valeurs par le fait de “valeurs chrétiennes devenues folles”, (et s’apparentent à une forme de wokisme ?).
Je vais me livrer à un exercice que je fais rarement, c’est-à-dire commenter un article de l’IREF. Si je le fais, c’est que d’habitude je vous suis davantage. Veuillez m’excuser par avance pour la longueur, ce sujet me tient à cœur.
Si Luc Ferry, pas vraiment connu pour être un antilibéral, défend le droit des animaux, c’est qu’il y a quelque chose dans ce combat qui va au-delà d’un danger de régression étatiste. Quant au militant écolo sur France Inter, je pense la même chose que Ferry, à savoir que celui-ci voulait certainement provoquer mais qu’il est évident (peut-être même pour lui), qu’interdire le comté serait une solution absurde. En revanche, le libéralisme n’interdit pas d’exercer sa responsabilité et son bon jugement (au contraire), que ce soit individuellement ou collectivement. Il est très sain que des personnes arrêtent d’en consommer si elles le désirent, pourvu qu’elles n’obligent pas les autres à quoi que ce soit de manière coercitive. Par ailleurs, votre premier paragraphe balaie d’un revers de la main d’importantes considérations sur l’abattage des animaux et la souffrance que cela implique, que nous parlions des pratiques intensives des abattoirs modernes ou de l’abattage rituel traditionnel dans le judaïsme et l’islam. Si manger du comté avait des conséquences si néfastes sur l’environnement et la souffrance animale que l’être humain pourrait en prendre conscience et voudrait logiquement les limiter, si ce n’est y mettre fin, alors où est le problème me direz-vous ?
Je veux bien que le respect de l’environnement, des végétaux et des animaux, ne devrait pas être une valeur en soi et encore moins le seul objectif de la société. Mais avez-vous l’impression que ces causes justes et essentielles, traitées comme telles par notre civilisation comme vous le rappelez dans votre dernier paragraphe, aient été bien prises en considération dans nos démocraties libérales. Les problèmes écologiques peuvent-ils être réduits au danger que pourraient constituer une récupération politique par les étatistes, ou même encore par les seules actions néfastes des politiques étatiques ? Le capitalisme et le libéralisme permettent-ils vraiment de traiter idéalement ces questions ? Il est vrai que le libre marché n’a pas attendu pour trouver des solutions plus ou moins pertinentes. Viande de synthèse, alternatives végétales pour limiter les souffrances animales, pratiques durables en tout genre pour mieux respecter les écosystèmes etc., où est le danger étatiste là-dedans ? Certes, il y a un vrai débat sur l’extension du droit, mais le droit n’est pas l’apanage des étatistes dans les démocraties libérales. Une société libérale et démocratique pourrait très bien étendre sa conception du droit aux animaux, végétaux, écosystèmes et à tout ce qui a une importance dans le Vivant, sans pour autant sombrer dans l’égalitarisme, en respectant la propriété privée et la liberté individuelle. C’est une chose d’accorder une forme de droit aux animaux, végétaux et cours d’eau, ce serait autre chose (absurde) de le faire pour de véritables objets inertes, c’est-à-dire artificiels, qui n’ont a priori aucun rôle dans le fonctionnement de la nature.
La nature est certes au service des hommes, mais les hommes sont de par leur nature biologique de toute façon dépendants de celle-ci. Ils devraient donc être également à son service. D’ailleurs, par sa nature humaine, dont la conscience est une caractéristique principale, il lui incombe une responsabilité toute particulière que n’ont pas les pierres, plantes et autres animaux. C’est une réalité scientifique implacable que l’homme dépend de son environnement, des microbes, de la santé des sols pour son agriculture, de la qualité de l’eau et de l’air, et d’un bon respect du règne végétal et animal. Tout est interconnecté. Si vous tenez vraiment à philosopher, je peux vous assurer que nous ne sommes pas prêts de revenir à l’antiquité (très inégalitaire par ailleurs), parce que l’égalitarisme est un concept moderne, plus encore que le libéralisme qui défend la bonne vieille propriété privée. Je ne serai d’ailleurs pas si catégorique que vous sur l’ “animal sans conscience de lui-même”. Les neurosciences montrent aujourd’hui qu’il n’y a pas tant de différences que cela dans un cerveau humain et un cerveau animal. Par ailleurs, si l’être humain a le potentiel de s’éveiller à sa conscience et d’aller au-delà de ses instincts, avez-vous l’impression que le monde actuel est peuplé d’être conscients et responsables ? Il ne faut pas se perdre dans des divagations philosophiques d’un autre temps, opposant monistes (panthéistes) et dualistes. Descartes avait tort et l’on ne peut pas dire que l’homme peut exister en opposition ou en vase clos par rapport au reste de la Création. S’il est évident qu’il tient un rôle particulier au sein de cette Création, il n’est pas lui-même le Créateur et ne peut exister sans tenir compte des lois physiques immuables et de la réalité tout simplement.
J’attends le jour où le président du tribunal sera une vache et le procureur une chaise pour condamner tous ces urluberlus au silence. Encore un peu de patience c’est pour demain.
La folie verte détruit l’humain qu’elle fait régresser au niveau des autres mammifères puis des autres animaux au point de l’accuser des disparitions d’espèces infiniment nombreuses. Rien de permet plus de distinguer la lutte contre l’abattage hallal générateur de souffrance avec le respect de l’animal dont nombre de genres si non d’espèces n’existeraient plus de nos jours si on ne les avaient pas élevées au service de l’homme. Pourquoi ne pas entendre aussi le cri de la laitue que je coupe au ras du sol et mâche avec un réel contentement ?
Pourquoi ne jamais parler des conditions de vie exécrables des animaux dans les abattoirs, et de abattage rituel qui n’est pas que dans l’islam mais aussi dans le judaïsme ?
Il est prouvé que les végétaux ont une forme de sensibilité et une certaine intelligence. Il ne s’agit pas d’arrêter d’en consommer, mais de le faire consciemment. Comme pour les produits animaux.
Comment faire pour sortir du couloir de la radicalisation les fanatiques Ayatollahs verts ?
Les vrais écolos se chauffent avec du bois qu’ils coupent à la hache et débitent à la scie,ce ne sont pas des cons-bénis.
Il faudra aussi interdire aux poissons serpents d’avaler vivant leur proie et aux lions de manger les gazelles à moitié vivantes et au chat de tuer des souris sans les manger etc
La nature a créé des prédateurs carnivores dont l’homme qui a des incisives pour arracher la viande
Et si les écologistes apprenaient des sciences naurelles
Depuis ma naissance, j’ai 82 ans, je ne mange pas sous tout leur forme, de fruits, de légumes, de produits laitiers, de œufs, de sauces, je ne vie qu’avec du poisson et du riz. Je marche plus de 5.000 pas tout les jours et je ne fume pas. Faites comme moi, vous faites des économies, mais vous détruisez l’économie d’un pays car, il ne bénéficie pas en particuliers aux agriculteurs et ni aux industries de transformations. En ce cas, si vous faites comme moi, vos impôts vont augmenter sérieusement
…et qui sont ensuite conduites à l’abattoir dans d’horribles souffrances A noter cher Monsieur que c’est l’abattage halal qui crée d’énormes souffrances puisque il interdit l’étourdissement avant l’égorgement !
Et l’abattage casher !