Raphaël Glucksmann, qui se revendique de la social-démocratie en dépit de la radicalité de son programme aux élections européennes, n’a finalement rien trouvé à redire à l’union des gauches malgré…
Manuel Valls
Il a été député du Parti socialiste, Premier ministre en France sous Hollande, candidat à la primaire socialiste pour la présidentielle de 2017, soutien d’Emmanuel Macron, candidat aux législatives de…
La République en marche à la rescousse du micro-parti de Manuel Valls
Malgré les dissensions et les vicissitudes qui caractérisent la relation entre Manuel Valls et le parti présidentiel, il semblerait que ces rapports se soient récemment réchauffés, du moins en sous-main.…
Manuel Valls : « Gouverner de nouveau, je suis fait pour ça, j’aime ça, j’ai cette passion. Je suis un politique jusqu’au bout des doigts »
Manuel Valls ne vit que pour gouverner, et il est capable de traverser les frontières pour cela. Face à la prévisible pantalonnade de la gauche aux élections présidentielles, il sort…
L’ancien Premier ministre, Manuel Valls, est devenu une sorte de sage de la gauche française en pleine crise. Il se prononce sur – presque – tout et critique tout le…
Le 3 juillet sur TF1 le Premier Ministre Valls a fustigé la directive européenne de 1996 permettant le travail détaché. Dénonçant « un dispositif européen qui fait des ravages majeurs, terribles », M. Valls a appelé à « changer » afin d’obtenir « une égalité de traitement, par le haut, pour lutter contre le dumping social » qu’il a qualifié d’« insupportable ». L’idée du Premier ministre est ainsi que les cotisations sociales à payer d’un salarié détaché soient désormais celles du pays « où elles sont le plus élevées ». Menaçant l’Europe, le Premier ministre a insisté : « Si on ne nous entend pas, il faudra dire que la France n’applique plus cette directive »,
Le Premier ministre Emmanuel Valls a récemment annoncé le lancement de “La Fabrik”, une série de mesures en faveur des jeunes. Ce nom à la mode cache en fait un énième programme de dépenses publiques, dont 450 millions pour des bourses scolaires, la création de 40 000 logements étudiants ainsi que des aides à la recherche du premier emploi. L’inverse de ce que font les Britanniques avec pourtant 10 points de moins de chômage chez les jeunes.
D’après les récentes déclarations du premier ministre, de nombreuses modifications ont été apportées au projet du loi sur la réforme du droit du travail. Si le texte complet n’a pas encore été dévoilé, le gouvernement semble avoir reculé sous la pression des syndicats non représentatifs. Pourtant, pour faire accepter la loi El Khomri, le gouvernement devrait tout simplement dire la vérité : ces réformes ont marché ailleurs en Europe !
Dans un « Point de vue » publié dans le quotidien Les Echos (25 août), vous dressez un portrait tout à fait juste de la France d’aujourd’hui : un pays qui « a atteint des records dans le domaine de la fiscalité », avec une économie « entravée par des réglementations excessives ou trop complexes » et des entreprises « qui ont besoin de visibilité ». Vous avez aussi raison de parler de la « poursuite des réformes », de l’ « émancipation des individus » et de la croissance économique. Mais beaucoup moins lorsque vous ressortez les clichés marxisants sur l’égalité et « les salariés livrés à eux-mêmes face à la loi du marché ». Les faits vous contredisent, monsieur le Premier ministre. Les jeunes (et pas seulement) qui partent à Londres ou qui traversent l’océan semblent justement préférer la loi du marché à la loi de l’Etat qui étouffe les libertés et l’esprit d’entreprise.
Jean-Philippe Delsol est interrogé (2 juin) sur Figaro Economie concernant la position de l’IREF concernant la proposition de prélever l’impôt à la source. Lire.