En matière de taxation du carburant comme dans d’autres domaines, le gouvernement aime faire compliqué. Face à la hausse des prix à la pompe, qui frôlent les 2€ le litre,…
Impôts et Fiscalité
Le Malus écologique sur les automobiles, une taxe encore plus perverse que vous ne le croyez
La cuvée 2022 du malus écologique automobile est arrivée, toujours plus saumâtre, puisqu’à émissions égales, la hausse tourne autour de 50% par rapport au tarif 2021. Le malus est une…
L’économiste Thomas Piketty, dont les recherches ont été plusieurs fois critiquées et démontées par l’IREF, co-signe une tribune dans le quotidien le Monde dans laquelle il appelle « à faire émerger…
Les crédits d’impôt culturels : gouffre financier ou cas d’école d’une baisse des impôts maintenant l’activité économique sur le territoire national ?
Le 28 mai 1946, les accords Blum-Byrnes, accords économiques franco-américains, entérinaient l’effacement de la dette française et 650 M$ de prêts contre la fin du contingentement des films hollywoodiens. Ceux-ci envahissent les salles françaises et en 1947, 420 millions de spectateurs se ruent au cinéma pour découvrir les films américains. Le préjudice pour notre pays se fait sentir puisque le nombre de productions chute à 71 films, moins qu’en 1942. La signature des accords, vus comme une tentative d’assassinat du cinéma français, soulève un tollé immédiat dans le milieu audiovisuel.
Tour à tour, des organismes para-gouvernementaux sortent des études pour proposer des augmentations des droits de succession et donation. Après France Stratégie, en juin 2021, c’est le Conseil d’analyse économique, CAE, qui publie en décembre 2021 une étude sur les donations et l’héritage. L’un et l’autre sont des organismes dépendants du Premier ministre et qui usurpent la qualité de think tank puisque, rattachés au gouvernement et financés par lui, ils ne sont pas indépendants.
La Commission européenne divulgue ses propositions en matière de « justice fiscale »
La Commission européenne a mis sur la table mi-décembre une proposition de directive « relative à la mise en place d’un taux d’imposition effectif minimum pour les activités mondiales des…
Le taux effectif d’imposition d’ Elon Musk sur les gains issus des parts dans Tesla est de 53 %. Cela représente 11 milliards de dollars d’impôts pour 2021 !
Taxation de l’héritage : le rapport de la CAE tombe dans la folie égalitaire
Les inégalités n’ont pas leur place en France, et nos différentes instances de conseil gouvernemental les traquent dans tous les recoins de nos vies. Le Conseil d’analyse économique (CAE) est…
Une nouvelle taxe pour financer l’audiovisuel et le cinéma français !
Pas une semaine sans une taxe sous Emmanuel Macron. Le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) est en train de finaliser juridiquement la contribution des plateformes de streaming vidéo américaines à…
Quand les travaux de l’IREF ont des répercussions au Parlement
A l’occasion du projet de loi de finances (PLF) et du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2022, la question de la fiscalité du tabac à chauffer est venue à plusieurs reprises dans les débats à l’Assemblée nationale et au Sénat, en commissions comme en séance publique.
Sans doute à l’instigation du lobby anti-tabac, comme le Comité de lutte contre le tabagisme (CNCT) avec lequel l’IREF a déjà eu maille à partir, un amendement a été adopté au Sénat le 18 novembre pour alourdir la fiscalité sur le tabac à chauffer.