Nos médias, même de droite, et nos hommes politiques ont, par un tir groupé, utilisé la notion de « société civile » à tort et à travers durant la période du gouvernement…
société civile
Assemblée nationale: nouveau tour de vis pour museler la société civile
Dans le cadre du projet de loi de lutte contre les dérives sectaires, actuellement en discussion à l’Assemblée nationale, les députés ont voté un amendement privant d’avantages fiscaux les organisations…
Lorsque j’ai commencé, en 1998, à travailler pour un think tank – littéralement un « réservoir d’idées » – je n’imaginais pas l’importance de ce genre d’organismes. Mal connus en…
On se souvient des images des orphelinats roumains découverts à la chute de Ceausescu fin 1989. Des centaines d’enfants squelettiques vivant dans des dortoirs immondes, certains attachés au lit. Ils…
Nombreux sont ceux qui, parmi nous, ont pris l’habitude d’avoir une conception manichéenne de la vie : le camp du bien, où bien sûr ils se comptent, et le camp du mal, où ils placent leurs adversaires. Mais la vie n’est pas ainsi et souvent le choix pratique qui s’offre à nous est entre deux biens. Une bonne illustration peut être trouvée dans la parabole du Bon Samaritain. Il existe au moins deux façons de l’interpréter : celle qui décrète où est le bien et le mal et celle qui, sans pour autant éliminer cette dichotomie, fait émerger le dilemme ainsi que son dépassement possible.
Dans un courrier daté du 8 décembre dernier et publié ce 10 février, M. Moscovici, président de la Cour des comptes, a fait part au premier ministre de ses recommandations…
En novembre 2020 est paru, pour l’Opinion et la Fondation Concorde, un sondage IFOP sur la popularité d’un certain nombre de valeurs, dont le libéralisme, auprès des Français. Les résultats sont étonnants : ils montrent une confusion générale sur le libéralisme et une perception négative, souvent illogique, de certains éléments majeurs liés à cette philosophie, entretenue à bien des égards par les faiseurs d’opinions. Une tendance d’autant plus inquiétante que le pays traverse une crise profonde qui va être récupérée par les étatistes de tous bords.
Le président Macron a accordé le 14 avril dernier une interview au journal Financial Times. Intitulée ‘We are at a moment of truth’, elle en dit long sur sa stratégie pour détruire l’économie et mieux instaurer le socialisme.
L’article 5 de la Constitution du 4 octobre 1958, actuellement en vigueur, dispose que « Le Président de la République veille au respect de la Constitution. (…) Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire et du respect des traités ». L’homme en charge du respect de la Constitution et des traités se rend lui-même coupable, dans l’interview mentionnée, du non-respect des traités européens : « Aujourd’hui nous fonctionnons en zone euro et en Union européenne sans respecter nos traités. Parce que nos traités, ils interdisent les aides d’Etat. Et aujourd’hui le système il fonctionne au fond comme s’il y avait des aides d’Etat. Parce que nous sommes tous en train d’apporter des garanties à nos entreprises. »
A quoi servent les riches ? Plusieurs réponses nous ont été données ces derniers jours à l’occasion de la crise pandémique actuelle.
L’association Citoyens de Franche-Comté écrit à nouveau au Parquet financier qui jusqu’alors n’a pas daigné répondre au sujet de la déclaration de patrimoine et d’intérêts signée le 24/10/14 par M. Emmanuel Macron. (voir fichier PDF en fin d’article)