Simone Wapler signe un pamphlet afin de « remplir les blancs de l’histoire », pour reprendre la formule de George Orwell. Elle s’attaque donc au monstre sacré français, l’État, et nous interroge : êtes-vous sûr que l’État vous protège réellement ? Êtes-vous sûr qu’il veuille réellement votre bien ?
réforme de l’Etat
Comme l’IREF, le Républicain David Lisnard prône la responsabilité et la liberté
Membre des Républicains et maire de Cannes depuis 2014, David Lisnard se positionne comme l’une des voix libérales de son parti. Dans une interview publiée ce mercredi dans Le Figaro,…
Les anciens pays d’Europe de l’Est, appelés « démocraties populaires » sous le communisme, connaissent un développement économique grandissant et une amélioration des conditions de vie de leur population. C’est un véritable boom. L’un des exemples les plus marquants est celui de la République Tchèque. En effet, les Tchèques deviennent plus riches que les Espagnols et les Italiens. Quelle est la recette de cette réussite? La réponse est simple, c’est le libéralisme économique.
C’est bien l’Etat qui a forcé les entreprises à fermer
Jean-Philippe Delsol est cité dans The Limited Times (20 mai) à propos du rôle de l’Etat dans la récession économique actuelle. Lire.
Le Président de la République a annoncé aux Français que le moment d’une « refondation » est venu. Il a raison : la crise a révélé les dramatiques faiblesses de…
Publié aux débuts des années 2000 sous la direction de Bernard Zimmern, Le livre noir de l’ENA est, d’une part, une véritable radiographie de cette école créée juste après la guerre, avec son fonctionnement et ses modalités d’enseignement et d’autre part, une énumération complétée par une analyse détaillée de la plupart des catastrophes économiques et sociales provoquées par des fonctionnaires sortis de ses rangs. Ce qui revient à parler de la plupart des dysfonctionnements graves de notre économie. Depuis 1974 et la première génération d’énarques qui arrivent à des postes de responsabilité, la France a connu une hausse ininterrompue du chômage, des dépenses publiques, des prélèvements et des impôts. La responsabilité des énarques dans ce désastre est incontestable. Ils ont été – et ils sont toujours – les décideurs principaux de la politique économique et fiscale menée par les politiques, de droite ou de gauche.
Le gouvernement souhaite désormais voir le nombre de fonctionnaires d’État se réduire de 10 500 d’ici la fin du quinquennat, dont seulement 47 en 2020.
Organisé en grande pompe et soutenu par la plupart des médias, le Grand Débat national n’aura servi probablement à rien. Une preuve en a été donnée fin juillet par Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics, qui a abandonné l’objectif de supprimer 120 000 postes de fonctionnaires, dont 50 000 au sein de l’Etat, sur la durée du quinquennat. Déjà, 50 000, c’est très peu : tout juste 2,09 % de l’ensemble des effectifs de la fonction publique d’État (2,393 millions d’agents exactement). Maintenant, le ministre annonce seulement…15 000 suppressions, donc environ 0.7 % du total des fonctionnaires d’Etat.
C’est à peu près au même moment que l’on découvre le rapport de Bercy (IGF) sur le temps de travail et le projet de loi pour la restructuration de la fonction publique. Simple coïncidence ? Probablement pas, mais le plus important ce sont les actes qui vont suivre. Va-t-on assister à une vraie réforme de la fonction publique française qui en a tellement besoin ?
Le mouvement qui a endossé le gilet d’alerte est pour le moins hétéroclite. Il est un rassemblement de mécontents, ou peut-être même seulement d’insatisfaits. Ils ne comprennent plus le langage présidentiel qui a dit tout et fait tout le contraire.