Les premières études sur les séquelles causées par le Covid commencent à sortir. Et elles sont très inquiétantes. Selon la Washington University School of Medicine, une analyse approfondie des données fédérales sur la santé indique que les personnes qui ont eu le COVID-19 courent un risque accru de développer des complications cardiovasculaires du premier mois à un an après l’infection. Ces complications comprennent des rythmes cardiaques perturbateurs, une inflammation du cœur, des caillots sanguins, un accident vasculaire cérébral, une maladie coronarienne, une crise cardiaque, une insuffisance cardiaque ou même la mort. Ce qui est encore plus inquiétant c’est que de telles complications surviennent même chez des individus auparavant en bonne santé et ceux qui ont eu des infections légères au COVID-19. Même les asymptomatiques sont concernés par ces séquelles.
Les chercheurs ont analysé des dossiers médicaux dans une base de données qui comprenait des informations sur la santé de 153 760 personnes qui avaient été testées positives pour COVID-19 entre le 1er mars 2020 et le 15 janvier 2021 et qui avaient survécu aux 30 premiers jours de la maladie. Les vaccins n’étaient pas encore disponibles au moment de leur contamination. Par rapport à ceux des groupes témoins sans aucune infection, les personnes qui ont contracté le COVID-19 étaient 72 % plus susceptibles de souffrir d’une maladie coronarienne, 63 % plus susceptibles d’avoir une crise cardiaque et 52 % plus susceptibles de subir un accident vasculaire cérébral. Dans l’ensemble, les personnes infectées par le virus étaient 55 % plus susceptibles de subir un accident cardiovasculaire indésirable majeur, qui comprend une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral ou la mort.
13 commentaires
IREF en mode revue médicale. A t il au moins fait une analyse de l’étude? En est il capable ?
Non, on reprend « bêtement » les études médicales. Comme Le Figaro : https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-un-risque-accru-de-maladies-cardiovasculaires-20220209
À reprendre « bêtement », ça montre que vous n’avez rien appris de l’affaire du Lancet gate. Ces symptômes sont des symptômes post vaccinaux. On les a vu arriver en milieu hospitalier après les débuts de la vaccination et pas au début de la crise.
L’étude a été faite avant la période de vaccination : entre le 1er mars 2020 et le 15 jan 2021
Bonjour monsieur Lecaussin
Pour vous faire une idée plus réaliste de ce qui se passe sur le terrain, je vous invite à écouter l’émission de ce matin sur France Inter qui parlait justement du Covid Long.
Deux médecins sur le plateau et de nombreux témoignages en direct au téléphone de personnes concernées.
La prise en charge de ces patients qui ne semblent pas guérir.
Bref le quotidien de ces malades et des médecins
Ca c’est du concret, du réel! Pas juste des rapports, souvent d’origine douteuse
Bonne audition
PhB
C’est ce que dit l’étude aussi.. faite par des scientifiques et des médecins…https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-un-risque-accru-de-maladies-cardiovasculaires-20220209
Cordialement,
NL
Bonjour, nous avons bien compris que le traitement médical (vaccin) et psychologique (confinement) de cette pandémie allaient laisser des traces d’une façon ou d’une autre. Les Véran, Castex, Pompili et autres zozos de la Macronie en déclin à 80 km/h se sont jetés sur le sujet comme des vautours. Pendant ce temps, ils n’ont pas eu à se préoccuper des vrais sujets, dont l’urgence énergétique restée cinq ans en jachère, et ce, après cinq ans d’inaction énergétique Hollandiste. Ajoutez à cela, la psychose initiée par les escrocs climatiques, les politiciens carbono-réchauffistes et les journalistes subventionnés, entrainant ainsi les déprimés et les ayatollah verdâtres au fond du trou. Merci. Bien à vous
L’étude concerne strictement les conséquences du virus durant l’année 2020 jusqu’au début 2021…
Cher Monsieur,
C’est tout de même très difficile de lire ces commentaires…
Je m’étonne encore (à peine en fait) de la propension « des gens » à ne pas vouloir simplement lire.
Par contre lorsqu’un pseudo-médecin et quelques populistes notoires font croire qu’un site de collecte d’effets secondaires (sans précision d’intensité ni d’importance) en déclaration libre, est une étude scientifique, alors là c’est l’euphorie dans les rangs des illuminés du complot.
Je ne pensais pas que les habituels adeptes des réseaux associaux fréquentaient l’IREF.
Vous avez bien du courage et personnellement je vous remercie de remettre les pendules à l’heure aussi bien.
Si l’adage dit 100 fois sur le métier remettez votre ouvrage, vous le remettez sans doute des milliers de fois chaque mois. C’est un sacerdoce l’éducation politique et sociale.
Cher Monsieur, en effet, certains ne lisent même pas le texte… C’est triste et inquiétant.
Merci de nous lire et de nous soutenir
Cordialement
NL
Bonjour, ce qui est malheureux dans cet article, il n’est pas précisé le nombre de personnes vaccinés. Car cela pourrait expliquer ces phénomenes. Pour cela il devrait y avoir un suivi d’un groupe sans vaccin et un groupe avec. Autrement l’étude est biaisé, non ?
Si, c’est bien précisé
Faites un tout petit effort, lisez l’article du Figaro, la réponse à votre question apparaît dès la 6è ligne :
« Les chercheurs de l’université de Saint Louis (Missouri) se sont appuyés sur une cohorte de 154.000 adultes américains ayant eu une infection par Sars-CoV-2 confirmée par une PCR entre le 1er mars 2020 et le 15 janvier 2021. »
=> Au moment de l’étude, il n’existait pas encore de vaccin contre le covid… donc votre tentative d’incriminer le vaccin tombe complètement à l’eau.
NB : Le vaccin produit (peut-être) des effets négatifs, mais l’article en question n’en parle pas, il vous fait donc chercher ailleurs.