Une cour fédérale américaine vient de ressusciter la vieille histoire d’Executive Life, la compagnie d’assurances américaine rachetée par le Crédit Lyonnais dans des conditions illégales, et pour laquelle l’Etat français a déjà payé plus de 700 millions de dollars.
Or, voici qu’une autre compagnie d’assurances, AIG, s’est estimée lésée dans cette affaire et demande 800 millions de dollars de dommages et intérêts à la banque française. Les contribuables français n’ont pas fini d’éponger la facture laissée par ce temple de l’étatisme que fut le Crédit Lyonnais.