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Paris Aéroport : après le Covid, la grève !

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L’ensemble des organisations syndicales de Paris Aéroport a lancé un appel à la grève pour début juillet, au moment des premiers départs en vacances. En cause : le projet de la direction des aéroports parisiens de supprimer certaines primes, afin de compenser les pertes de revenus causées par la pandémie. Des licenciements sont également au programme. Les syndicats de Paris Aéroport semblent nier la crise du Covid-19 qui touche pourtant tout le secteur : United Airlines a annoncé 13 000 suppression de postes ; Delta Airlines, 40 000 ; Ryanair, 3 000 ; Air France, 7 500, etc.

Cette grève ne fera qu’affaiblir davantage l’entreprise et le secteur aérien français, tout comme les revendications et réglementations écologistes. D’autres plans sociaux sont à prévoir dans les prochaines années, si la dynamique politique et idéologique continue de frapper l’aéronautique. Ne serait-il pas temps, comme initialement prévu par le gouvernement, de privatiser les aéroports de Paris ?

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Bruno GERMAIN 3 juin 2021 - 1:36

Paris Aéroport : après le Covid, la grève !
Le triste Sir MARTINEZ ou autres irresponsables syndicaux n’ont évidemment jamais entendu parlé du Covid 19.
Ils reprennent donc leurs bonnes habitudes d’emmerdeurs et de casseurs d’entreprises.
Après ces mois difficiles alors que beaucoup de TPE ont été écrabouillées et quand les gens pourront enfin « prendre l’air » après ces mois difficiles :
« Oh ! mais non ! Nous avons reçu les ordres de Staline, reprendre le combat ».
J’aurais bien voulu voir la bande cégétiste au fond des boyaux du chemin des dames en 1917 en train de crever pour sauver la France face aux hordes allemandes de l’époque.
Mes deux grands-pères y sont mort. L’un avait entre 21 et l’autre 24 ans.
Mais c’était un autre combat plus noble et d’un sacrifice absolu. Des saints contre des lâches et veules opportunistes sans foi ni loi, sinon celle d’un égoïsme mortifère.
J’ai écrit récemment un roman. « RENDEZ-VOUS GARE KIESKI ». Tout y est dit sur l’horreur des régimes communistes et leur drapeaux rouge.
Bruno GERMAIN

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