L’auteur est un ancien élève de Normale Sup’ en Sciences physiques et directeur d’une société de gestion d’actifs. Rien à voir avec les petites histoires. Sa démarche est réussie. Alors que le monde connaît la crise, que les monnaies sont bousculées, qu’on se refugie dans l’or et qu’on se pose de plus en plus de questions, il a choisi de faire appel au passé pour comprendre le présent ?
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« Si je suis élu Président de la République, je m’engage à développer les monnaies complémentaires en France », c’est l’appel lancé par Philippe Herlin aux candidats à travers cet ouvrage. On sait très bien que la crise n’est pas finie. On sait moins comment en sortir. L’auteur, chercheur en finances et chargé de cours au CNAM, ne se contente pas de rappeler les principales causes de l’effondrement du système, il donne aussi des pistes pour le remplacer. Il vaut mieux penser déjà à l’après euro, cette monnaie politique, et favoriser la concurrence monétaire grâce aux monnaies complémentaires. Voici un essai rafraîchissant face à un discours économique ambiant complètement déphasé. Achetez le livre.
Dans un article publié il y a quinze jours par l’IREF et repris dans la presse helvétique, le professeur Victoria Curzon Price, administrateur de l’IREF, dénonçait la dévaluation du franc suisse sous la pression des industriels. Elle propose maintenant une réforme alternative : la baisse de l’impôt sur les bénéfices des sociétés.
En moins de deux ans, le franc suisse s’est apprécié de quelque 35 % contre l’euro et le dollar : récompense de la rigueur monétaire. Mais les entreprises suisses doivent s’adapter au Franc fort et augmenter leur productivité pour pouvoir exporter. La Banque Nationale veut les soutenir en émettant plus de Francs. En réalité, il faudrait pratiquer des taux d’intérêt négatifs. Analyse et recommandations du Professeur Victoria Curzon-Price, administrateur de l’IREF.
La presse française s’est émue des propos de la chancelière, qui soulignent le contraste entre les européens qui travaillent et prennent peu de vacances et ceux du « Club Med ». La cigale vie au dépend de la fourmi, mais la « prêteuse » renvoie la chanteuse à ses devoirs. La Nouvelle lettre du 21 mai 2011 ( www.libres.org ) explique la sévérité d’Angela Merkel.
Le journaliste Candide rencontre l’informateur Deep Pocket (Poche profonde) dans un café du 5e arrondissement. Ce dernier va lui révéler les vraies causes de la crise économique et financière de 2008, ainsi que les dessous de la candidature et de l’élection de Dominique Strauss-Kahn à la présidence de la République en 2012.
Considérée comme remède miracle et instrument de relance, la baisse des taux d’intérêt est en réalité nocive à la croissance, et ne débouche que sur l’inflation. Cette découverte de l’économie autrichienne est opportunément rappelée par le jeune économiste Adrien Foulon, chercheur à l’IREF
Pour analyser correctement la crise financière qui nous frappe, afin de concevoir des réglementations pour éviter qu’elle ne se répète, il faut impérativement distinguer les causes de la maladie de ses symptômes. Actuellement, nous courrons un grand risque de les confondre et d’adopter des remèdes inappropriés, voire nocifs.