Sans le savoir les Français en viennent au libéralisme. Une grande majorité d’entre eux est en révolte contre les prélèvements obligatoires, impôts et cotisations sociales. Ils constatent avec amertume que l’argent qu’on leur retient est gaspillé : des dépenses publiques trop lourdes, des bureaucrates trop nombreux et bien payés. A mon sens il ne reste à ces Français que deux petits pas à faire : trop d’impôts c’est trop d’Etat. Et les cadeaux de l’État se payent cher.
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Imposons deux pass à Emmanuel Macron : le pass sécurité et le pass réformes !
Le pass sanitaire joue probablement un rôle très incitatif car la moitié de la population, ou presque, a maintenant reçu ses deux doses. La perspective de devoir payer son test…
Des parlementaires demandent un référendum sur l’hôpital : entre incompréhension des enjeux et manque de vision
Si les Français doivent de nouveau être appelés aux urnes, il faudrait qu’ils aient à voter sur des mesures concrètes pour qu’ils se mobilisent. Le projet de référendum d’initiative partagée…
Le Conseil d’État a rendu mardi 6 juillet un rapport au Premier ministre sur les pouvoirs de contrôle, d’enquête et de sanction de l’administration. Il est vrai qu’en France, de…
Honteuse reculade de l’UEFA devant le communautarisme islamique
Le feuilleton autour du retour du fils prodigue Karim Benzema n’ayant pas été jugé suffisamment coruscant par les plus hautes autorités sportives de notre pays, c’est désormais Paul Pogba (converti…
La bureaucratie, en grande partie responsable des failles de sécurité au capitole
Un rapport du comité sur la sécurité intérieure et les affaires gouvernementales du Sénat américain s’est penché sur l’événement du 6 janvier 2021 au cours duquel des personnes se sont…
Le Journal Officiel publiait au début du mois l’ordonnance remplaçant l’ENA par l’INSP (Institut national de service public). Emmanuel Macron a choisi de suivre les recommandations du rapport de Frédéric Thiriez, écrit début 2020. Ce rapport ne remet pas en cause l’existence de l’ENA, mais plutôt son mode de fonctionnement. L’IREF souhaite la disparition de l’ENA.
L’Union européenne s’est lancée dans une nouvelle grande politique en matière environnementale. L’année 2021 a été marquée par une inflation normative et règlementaire dans ce domaine dont le Pacte vert européen a été l’exemple le plus frappant. Les premières ébauches législatives prévoient la dépense de 1 000 milliards d’euros sur dix ans. Ces projets s’inscrivent dans la continuité de la mise en place de la taxonomie environnementale adoptée par l’Union européenne courant 2020.
Les gouvernements nationaux et les organisations supranationales comme l’OMS continuent de réclamer plus de pouvoir pour éviter la prochaine grande crise. Mais ils ne peuvent pas assurer la sécurité des citoyens contre des catastrophes imprévisibles comme le Covid-19. Les vraies solutions viendront plutôt des organismes locaux, à condition qu’ils restent flexibles et préparés.
Notre article du 10 mai dernier, « Quand l’inspection du travail se démasque… en pleine pandémie », a suscité de nombreux commentaires. Que nos lecteurs soient remerciés d’avoir pris le temps de contribuer au débat.
Près de la moitié des contributeurs (n° 1, 3, 5, 9, 11, 16, 17) apporte de l’eau à notre moulin, et semble approuver les propos de celui qui se fait appeler « montesquieu » affirmant que « l’inspection du travail est une administration anti entreprises privées et qu’elle recrute et attire des individus qui pensent de même ».