Si les Français doivent de nouveau être appelés aux urnes, il faudrait qu’ils aient à voter sur des mesures concrètes pour qu’ils se mobilisent. Le projet de référendum d’initiative partagée…
bureaucratie
Le Conseil d’État a rendu mardi 6 juillet un rapport au Premier ministre sur les pouvoirs de contrôle, d’enquête et de sanction de l’administration. Il est vrai qu’en France, de…
Honteuse reculade de l’UEFA devant le communautarisme islamique
Le feuilleton autour du retour du fils prodigue Karim Benzema n’ayant pas été jugé suffisamment coruscant par les plus hautes autorités sportives de notre pays, c’est désormais Paul Pogba (converti…
La bureaucratie, en grande partie responsable des failles de sécurité au capitole
Un rapport du comité sur la sécurité intérieure et les affaires gouvernementales du Sénat américain s’est penché sur l’événement du 6 janvier 2021 au cours duquel des personnes se sont…
Le Journal Officiel publiait au début du mois l’ordonnance remplaçant l’ENA par l’INSP (Institut national de service public). Emmanuel Macron a choisi de suivre les recommandations du rapport de Frédéric Thiriez, écrit début 2020. Ce rapport ne remet pas en cause l’existence de l’ENA, mais plutôt son mode de fonctionnement. L’IREF souhaite la disparition de l’ENA.
L’Union européenne s’est lancée dans une nouvelle grande politique en matière environnementale. L’année 2021 a été marquée par une inflation normative et règlementaire dans ce domaine dont le Pacte vert européen a été l’exemple le plus frappant. Les premières ébauches législatives prévoient la dépense de 1 000 milliards d’euros sur dix ans. Ces projets s’inscrivent dans la continuité de la mise en place de la taxonomie environnementale adoptée par l’Union européenne courant 2020.
Les gouvernements nationaux et les organisations supranationales comme l’OMS continuent de réclamer plus de pouvoir pour éviter la prochaine grande crise. Mais ils ne peuvent pas assurer la sécurité des citoyens contre des catastrophes imprévisibles comme le Covid-19. Les vraies solutions viendront plutôt des organismes locaux, à condition qu’ils restent flexibles et préparés.
Notre article du 10 mai dernier, « Quand l’inspection du travail se démasque… en pleine pandémie », a suscité de nombreux commentaires. Que nos lecteurs soient remerciés d’avoir pris le temps de contribuer au débat.
Près de la moitié des contributeurs (n° 1, 3, 5, 9, 11, 16, 17) apporte de l’eau à notre moulin, et semble approuver les propos de celui qui se fait appeler « montesquieu » affirmant que « l’inspection du travail est une administration anti entreprises privées et qu’elle recrute et attire des individus qui pensent de même ».
François Taquet : « Avec la crise, l’Urssaf s’est déguisée en Docteur Jekyll. Mais elle ne va pas tarder à reprendre son costume de Mister Hyde »
François Taquet est enseignant en écoles de commerce. Il est également avocat, spécialisé en droit social depuis 35 ans. C’est à ce titre qu’il s’est intéressé au droit de la Sécurité sociale, qui relève davantage, comme il le dit, du « non droit » que du droit. François Taquet est enfin, et peut-être surtout, militant, cherchant, comme l’exhortait Charles Péguy, à « gueuler la vérité » au sujet des Urssaf qu’il qualifie « d’État dans l’État ». Il est membre du Cercle Lafay, un think tank qui vise à améliorer les relations entre les Urssaf et les entreprises à travers des écrits, des conférences, des amendements législatifs ou des propositions de lois. Avec Nicolas Delecourt, François Taquet a publié en février 2021, « Urssaf : un cancer français » aux Éditions du Rocher.
En déplacement à Porto, au sommet de l’Union européenne, Emmanuel Macron a affirmé, concernant la vaccination : « Nous avons été plus lents parce que nous avons été plus ouverts,…