Cette semaine, lors de leur remise de diplôme, des étudiants d’AgroParisTech, ou de son nom complet Institut national des sciences et industries du vivant et de l’environnement, ont fait un discours relayé par de nombreux médias. Et pour cause : ce discours embrasse les thèses écologistes, approuvées par le lobby du bio et les décroissants.
Une fois leur diplôme en poche, ces enfants gâtés découragent les jeunes de faire les mêmes études qu’eux et appellent à déserter les postes qui participent “à la destruction de l’environnement et de la planète”. Un de ces jeunes va même jusqu’à affirmer que les plats préparés causent sciemment des cancers afin de vendre des traitements chimiothérapiques ! Du complotisme de bas étage indigne d’un étudiant du supérieur mais pourtant applaudi par de nombreux médias et personnalités qui crient à la moindre “fake news” du camp d’en face.
Une étudiante estime “qu’il y a quelque chose qui cloche”. En effet, ce qui cloche en France, c’est la propagande mensongère écologiste qui prône la décroissance et fait de l’agribashing un business et une marque de fabrique. Ce qui cloche, ce sont les 365 agriculteurs qui se suicident chaque année, non pas parce que des plantes sont “fabriquées” en laboratoire, mais parce qu’ils n’arrivent pas à joindre les deux bouts dans une France suradministrée et toujours plus contraignante envers les créateurs de richesses.
Une zadiste (oui, oui !) fait ensuite la promotion de l’agriculture vivrière et collective, comme si transformer des potagers en kolkhoze allait permettre de nourrir 8, 9 voire 10 milliards d’êtres humains dans le monde d’ici les prochaines années.
Visiblement, ces futurs professionnels de l’agriculture (certains veulent s’installer en tant qu’exploitant agricole) ne connaissent pas la réalité du terrain, ni celle de la science. Ils devraient regarder la situation dramatique du Sri Lanka plutôt que de faire de la com’ vulgaire et mensongère. Peut-être que certains d’entre eux, les moins lobotomisés, feront le même chemin que ce comédien qui explique, après une expérience dans le domaine, avoir changé radicalement sa vision de l’agriculture et estime que de nombreux urbains n’ont pas conscience du travail d’agriculteur conventionnel.
L’avenir de l’agriculture, malgré la propagande des lobbies réactionnaires écologistes, n’est pas à la permaculture, l’agriculture vivrière, ou au bio. La solution n’est pas de revenir à l’agriculture de nos arrière-grands-parents qui ferait réapparaître des famines de grande ampleur dans les pays les plus pauvres et créerait des pénuries dans les plus développés. L’avenir de l’agriculture réside dans l’innovation, matérielle, technologique et biotechnologique.
3 commentaires
Ces petits jeunes ont ils appliqué leurs idées à eux mêmes ? Ont ils posé définitivement leur iPhone et leur ordinateur qui polluent pour les fabriquer !
La reconversion de l’agriculture est le défi le plus difficile des vingt prochaines années. Beaucoup plus difficile que celui de l’énergie. Par quoi remplace-t-on le soja brésilien ? Par quoi remplace-t-on l’huile de palme ? Les deux facteurs les plus réchauffant de la planète. Comment verdissons-nous nos villes pour qu’elles puissent transpirer normalement ? La logique voudrait que les étudiants de l’agro soient les principaux acteurs de ces transformations, en étant créatifs. Si, à leur âge ils ne participent pas aux changements agricoles, qui le fera ? Le diagnostic est connu, mais étouffé par l’idéologie. Il est temps de remettre la science au milieu du village. C’est ce qu’on attend des écoles scientifiques.
Bonjour,
Attendu que:
– La France ne libère que 0,86 % du C02 d’origine anthropique mondial,
– La bienfaisante molécule de C02, n’est ni un polluant, ni une particule fine, mais un verdissant,
– La molécule de C02 constituée de 2 atomes de Carbone et de 1 atome d’Oxygène est un gaz rare, indispensable et irremplaçable à la vie sur terre.
– La molécule de C02 verdit la planète et accroit le rendement des récoltes,
– La molécule de C02 est présente à seulement 0,04 % dans l’atmosphère,
– Sous un taux de C02 inférieur à 0,03 %, la sous-alimentation des végétaux et des récoltes est avérés, favorisant les grandes famines et obligeant à arroser d’avantage,
– La molécule de C02 est un gaz équilibré, c’est-à-dire qu’il se reparti uniformément
autour du globe terrestre,
– Le C02 n’influence la température que de façon infinitésimale, même en cas de doublement (ce qui est loin d’être le cas),
– Le dit GES « Gaz à effet de serre » attribué au C02 n’existe pas, il s’agit d’un GAIR (Gaz Absorbant les Infra Rouge) et que le 1 er GAIR est la vapeur d’eau à plus de 76 %… (nuages, précipitations, humidité de l’air),
– Le taux de C02 suit la montée des températures de près de 800 ans et non l’inverse,
– La température à la surface de la terre a augmenté de 0,76 °C en 170 ans, nous sortons de la période du petit âge glaciaire (1850 qui correspond au début de l’ère industrielle et nous sommes encore sous les températures de l’Optimum Médiéval (moyen âge)… De plus, les périodes de forte industrialisation, donc de forte libération de C02 correspondent à une baisse des températures (1945 à 1975, 30 glorieuses). Ce qui contredit l’hypothèse de corrélation immédiate dans le sens C02/température,
– Seule l’Union Européenne, à tort, se préoccupe de la molécule de C02, molécule de la vie,
– La politique dite de « décarbonation » est ruineuse, stupide, et conduit notre pays au déclin, ainsi qu’au déclassement de ses concitoyens-contribuables. De plus, les mesures associées à cette idéologie sont liberticides.
La libération de C02 fait prisonnier il y a 20 à 350 millions d’années est une chose, le climat en est une autre et la pollution encore une autre
Avec la crasse Borne, cela va être l’obstination…pour ne pas dire Borner !
Ancienne collabo de Hidalgo, Delanoë encarté à gauche, ministre de l’escroquerie écologique, la France vit ses derniers jours. Merci. Bien à vous