800 millions d’euros pour les chômeurs de longue durée : c’est la nouvelle proposition d’Elisabeth Borne, ministre du Travail, qui répartit cette jolie somme d’argent du contribuable entre les offres…
Emploi et chômage
Inégalités salariales : la grande fumisterie des féministes
Les prétendus progressistes savent manier les formules choc : depuis le mercredi 3 novembre à 9h22, les femmes travailleraient gratuitement, et ce jusqu’à la fin de l’année civile. En effet,…
L’ex-candidate à la primaire écologiste nous éclaire une fois de plus par sa pensée décroissante. Alors qu’Amazon devait implanter un centre logistique dans une commune proche de Nantes, le projet…
Des prix Nobel d’économie spécialistes du SMIC, incapables de dire si le SMIC crée du chômage ou non… Curieuse approche de ces trois économistes : David Card (UCLA Berkeley), Joshua Angrist (MIT) et Guido Imbens (Stanford). Le comité Nobel les a couronnés principalement pour leurs travaux sur les effets de l’imposition d’un salaire minimum. A première vue, disent-ils, il y a une corrélation statistique entre SMIC et chômage : nul doute que les deux croissent simultanément. Mais, s’empressent-ils de préciser, cette corrélation ne permet pas d’établir un lien de causalité : est-ce le SMIC qui crée le chômage, ou le chômage qui conduit les autorités à créer le SMIC ? L’argumentation en faveur de cette thèse, contraire à ce qui se dit en général dans le monde des économistes, est assez spécieuse : quand il y a trop de chômeurs, la concurrence à l’emploi est plus vive, donc le niveau des salaires tend à s’abaisser, donc les autorités sont obligées d’intervenir et d’imposer un SMIC. Pourquoi cette curieuse argumentation, sachant qu’on fuit le vrai débat qui est celui de l’effet d’une hausse ou d’une baisse du SMIC existant sur l’emploi ? D’autre part l’intervention des autorités sur le marché du travail peut s’en tenir à des niveaux de SMIC très faibles (c’est le cas aux Etats Unis) ou très élevés, proches du salaire médian (c’est le cas en France).
La région Pays-de-la-Loire veut transformer les étudiants qui travaillent en assistés
Décidément, les responsables politiques ne savent pas quoi faire de l’argent du contribuable. Cette fois, c’est la présidente LR de la région Pays-de-la-Loire, Christelle Morançais, qui a été contaminée par…
Le revenu horaire moyen a diminué de 1,9 % depuis que Joe Biden est président
Aux Etats-Unis, les statistiques du département du Travail montrent que l’indice des prix à la consommation a augmenté de 0,4 % en septembre, contre 0,3 % en août. Cela signifie…
800 millions d’euros pour les demandeurs d’emploi en formation, l’argent continue de tomber du ciel
Pour que les demandeurs d’emploi puissent bénéficier de la “très bonne dynamique de la reprise”, Elisabeth Borne, ministre du Travail, a annoncé la semaine dernière une prime de 1 000…
L’échec de Pôle Emploi et des politiques actives de l’emploi
L’idée de fonder une organisation mettant en relation offres et demandeurs d’emplois, développée dès le 17e siècle, reposait à l’origine sur l’initiative du secteur privé caritatif. Ce n’est qu’en 1967…
La seule vraie réforme de l’assurance chômage c’est la responsabilité et la liberté de s’assurer
Le gouvernement a donc instauré une nouvelle méthode de calcul du salaire journalier de référence (SJR), qui sert de base au versement de l’allocation-chômage. Jusqu’à 1,15 million de personnes ouvrant…
Depuis 1975, le temps de travail a baissé de 17%, soit 350 heures annuelles, principalement sous l’effet des mesures de réduction de la durée légale, pour atteindre 1609 heures par an en 2018, contre 1957 en 1975. Les deux baisses majeures sont intervenues sur la période 1975-1983 (-145 heures) et sur la période 1991-2003 (-210 heures) et n’évoluent plus depuis. L’explication de cette diminution est multifactorielle : généralisation du salariat, montée du travail à temps partiel, baisse de la durée légale à 39 puis 35 heures.