L’Etude de l’IREF consacrée à l’impact des Rapports de la Cour des Comptes réalisés entre 2007 et 2012 est largement présenté par Le Figaro Economie (24 octobre).
Cour des comptes
Une consultation publique vient d’être organisée afin d’obtenir un avis sur la pertinence des différents axes de l’avant-projet de transition écologique. La protection de la biodiversité apparaît comme prioritaire, son respect étant la condition même de notre survie. Mais les conséquences sanitaires de l’activité humaine, liées à l’agriculture ou à l’industrie doivent faire l’objet de toutes les attentions.
La sécurité de l’approvisionnement n’est plus assurée, l’énergie coûtera de plus en plus cher et les émissions de CO2 ne diminueront pas. Ce constat d’échec est fait par Jean Pierre Riou, président de Mont Champot, dont l’IREF reprend l’analyse.
Les vœux, puis la conférence de presse, le confirment : le Président prend un virage. En particulier, comme la Cour des Comptes, il insiste sur la réduction des dépenses publiques, notamment dans le domaine de la protection sociale. Mais, pour ce faire, il faudrait rendre aux Français la responsabilité de leurs choix et substituer une logique assurancielle à une logique fiscale.
Frais de personnel : ils sont deux fois plus élevés à la Banque de France qu’à la Bundesbank
C’est l’une des conclusions de notre Etude comparative Banque de France vs Bundesbank. D’un côté, 1.45 Mds d’euros, de l’autre, 700 millions d’euros ! Pour ce qui est du coût…
• Coût de la fabrication des billets : 34 % de plus que ses concurrents
• Frais de personnel de la Banque de France : 2 fois plus que la Bundesbank (4 000 employés de plus !)
• Salaires à la Banque de France : 24 % de plus qu’à la Bundesbank
• Coût des retraites : 300 Millions d’euros de plus pour la Banque de France
Les dépenses publiques consacrées au logement sont très élevées et se placent hors de tout contrôle, tandis que les aides se multiplient pour des résultats très médiocres … : on…
Le rapport Pêcheur sur l’avenir de la fonction publique n’apporte strictement rien. Il n’est pas question de toucher au statut ni aux autres avantages dont profitent les fonctionnaires français. Il…
Pour faire croire au succès de sa politique économique, le gouvernement use de tous les artifices possibles en même temps qu’il continue de dilapider l’argent public. Il fait feu de tout bois pour colmater les brèches qu’il ouvre lui-même dans son budget par pure idéologie.
Fausses analyses, fausses promesses, fausses nouvelles, fausses mesures : nos gouvernants ont fui la réalité et la vérité et essayent de donner le change en occupant les médias. Mais ont-ils encore quelque crédibilité en matière d’économie et de fiscalité ?
Nos gouvernants se croient tout permis. Ils utilisent leur pouvoir législatif précaire pour nier les lois de la nature comme les lois de l’économie. La nature ?
La loi de la République a été utilisée pour asséner qu’il n’y avait plus ni homme ni femme, ni père ni mère. L’économie ? Un projet de loi de M. Hamon voudrait faire croire qu’il n’y a plus ni actionnaire ni salarié : application à l’entreprise du concept de « genre ».