Ils appellent régulièrement à la désobéissance civile quand une mesure ne correspond pas à leur idéologie. Ils justifient toutes les grèves, les actions violentes, les blocages de gares ou d’autoroutes. De Manon Aubry à Alexis Corbière, en passant par Clémentine Autain et Sandrine Rousseau, sans oublier l’inénarrable Jean-Luc Mélenchon, c’est la course aux invectives, aux insultes et aux menaces. Mélenchon s’en prend avec la dernière virulence à tous ceux qui osent le critiquer. Il traite sans vergogne CNews de « chaîne infâme » et n’hésite pas à comparer le président de l’université de Lille à Adolf Eichmann, criminel de guerre, à l’origine de la solution finale ! Il établit un lien entre la collaboration de Vichy et la « censure » de LFI dont la manifestation en faveur de la Palestine n’a pas été autorisée. Pour LFI, le massacre du 7 octobre n’a pas été un pogrom, en revanche l’interdiction de leur rassemblement est une mesure nazie.
Dans plusieurs tweets (voir plus bas), Rima Hassan, candidate aux élections européennes sur la liste de l’Union populaire avec la France insoumise, traite Rachel Khan d’ordure et veut « s’occuper de son cas ». Essayiste, conseillère politique, Rachel Khan a le grand tort de désapprouver le multiculturalisme et d’affirmer fièrement son attachement à la France. Ces quelques exemples, parmi tant d’autres, montrent qu’on est loin, très loin, de débats féconds. L’insulte et la menace ont remplacé les idées. C’est le langage des truands là où devraient avoir lieu des échanges d’arguments censés. Ces personnalités politiques ne se comportent plus comme des élus de la République mais comme les personnages d’un film de Scorsese. Il ne leur reste qu’à sortir les pistolets. Ils ne font honneur ni à la France, ni aux « gens » qu’ils sont censés représenter…
9 commentaires
« Tout ce qui est excessif est insignifiant » écrivait M de Talleyrand ! L’injure, les propos orduriers et l’incitation à la haine sont les seules armes dont disposent les faibles et les insignifiants (au sens étymologique). Ces armes sont hélas très dangereuses… Espérons qu’elles auront un effet boomrang.
Manon Aubry est un caniche qui se prend pour un pitbull.
Melenchón n’est-il pas aussi un fervent soutien de Poutine. On ne peut que constater l’extension des systèmes mafieux-dictatoriaux sur le monde. Il faut dire aussi que la tolérance démocratique est un peu trop permissive à l’égard des personnages politiques qui peuvent se permettre de dire les pires horreurs impunément.
Quelle honte pour la démocratie et jamais de poursuites pénales contre ces individus, Mélenchon et sa cohorte de LFI sont effrayants, prions qu’ils n’arrivent jamais au pouvoir ce serait Kim Mel 1…
Entièrement d’accord !
Vivement qu’ils disparaissent du paysage !
Aucun amour propre tous autant qu’ils sont.
Prêts à toutes les saletés pour occuper le devant de la scène.
Ils me donnent envie de vomir.
Il y a du Duce, il y a du Mussolini chez Mélenchon…c’est Gianni Luca Melenssolini. Résumé de la vie et de l’œuvre d’un certain Benito Mussolini, et toute ressemblance avec Jean Luc Mélenchon n’est pas fortuite, bien au contraire… Mussolini, tribun vaniteux et arriviste, aux postures caricaturales, aux expressions provocatrices honteuses, mais enseignant cultivé et polyglotte, venu de l’extrême gauche anarchiste et pacifiste, puis membre radical de la direction du parti socialiste italien, directeur du journal socialiste à tendance marxiste « Avanti! », créateur et guide (Duce) sans partage d’un parti populiste extrémiste, député n’ayant jamais pu accéder au pouvoir suprême par les urnes ; ce n’est qu’après avoir politiquement ratissé le plus large possible par électoralisme et communautarisme avec la complicité de certains intellectuels utopistes, de politiques dogmatiques et complaisants, sur fond de profonde crise économique, sociale et politique, puis ayant violemment forcé la main aux institutions gouvernementales (Un certain monarque fantoche Victor Emmanuel…déjà) par la pression musclée que ses nervis rouge-bruns exerçaient en terrorisant la rue (« la Marche sur Rome ») qu’il y est parvenu avec les résultats que l’on connaît.
Itinéraire du collabo-islamo-gauchiste-populiste Melenchon: Du Lìder maximo Fidel Melenchavez, en passant par l’ayatollah Melenchomeini, pour finir en Duce Gianni Luca Melenssolini.
Les français ont décidément la mémoire bien courte et surtout l’indignation à hémiplégie sélective. Melenssolini ne supporte pas la contradiction et la libre expression, surtout lorsqu’elle le met en face de ses choix pour le moins douteux, comme lorsque l’antisémite affirmé et travailliste anglais Jeremy Corbyn participe à sa campagne pour les législatives, tout comme lorsqu’il va ratisser les voix musulmanes dans une manifestation organisée par le CCIF (organisation islamiste depuis interdite et dissoute). L’Insoumis en devient violent et agressif, oscillant entre insultes, intimidations, menaces physiques par procuration, épurations dans son propre parti, pression de la rue et manœuvres politiciennes, digne des « chemises noires » propagandistes et musclées mussoliniennes des années 1920.
La force du fascisme réside dans cette alliance, dans cet Itinéraire convergent rouges-bruns… https://youtu.be/o31xAS0tmX4
Pascal Ory, historien spécialiste de l’histoire sociale contemporaine explique que le populisme n’est rien d’autre qu’un point de convergence entre les deux extrêmes : le fascisme est une version radicale du populisme qui va jusqu’au bout. On fait du bon populisme avec la convergence des extrêmes de droite et de gauche. Mélenchon a en commun avec Mussolini son itinéraire personnel, professionnel et politique: venant de l’extrême gauche pacifiste, puis socialiste marxisant, glissant ensuite vers l’étatisme autoritaire, le bellicisme nationaliste, le populisme social, le communautarisme électoraliste et le népotisme familial (plaçant sa fille et son gendre Amard aux bonnes places, comme Mussolini le fit avec son gendre Ciano). Admirateur de la plupart des dictateurs (de Robespierre à Castro en passant par Maduro, Ortéga, Poutine…) Mélenchon s’inspire qui plus est, avec son programme électoral « tout Etat » et la création d’un « homme nouveau » de l’inventeur du fascisme, Mussolini, qui définissait ainsi le fascisme : « Tout dans l’État, rien hors de l’État, rien contre l’État ! » A quand une « Marche sur Paris » pour satisfaire l’ambition et compléter le portrait de Gianni Luca Melenssolini ?
La présence de l’ex-leader travailliste et antisémite Jeremy Corbyn aux côtés de deux candidates LFI scandalise. Elle n’a pourtant rien d’étonnant. https://www.lepoint.fr/elections-legislatives/coignard-melenchonisme-populisme-antisemitisme-06-06-2022-2478434_573.php https://www.lepoint.fr/presidentielle/quand-les-imams-et-les-predicateurs-appellent-a-voter-jean-luc-melenchon-01-05-2022-2473914_3121.php https://www.causeur.fr/jeremy-corbyn-chez-la-nupes-complaisance-gauche-antisemitisme-235479?fbclid=IwAR2EsReKL5sIdXJLhoM0NGrkLsG62fIob1IaCUPd6DBPZPjbQrdJqXpOrVQ https://www.facebook.com/100000053178891/videos/1188547471883140
Je pense tout comme vous qu’il y a du Benito chez Mélenchon, il suffit de le regarder éructer et gesticuler pendant 30 secondes pourvoir qu’il y a bien une ressemblance, déjà quand il était encore député et affirmait aux FDO : »La république c’est moi »…Quelle prétention ce gauchiste qui ne voyage qu’en Business class pour ne pas se casser le dos en Eco (sic) Il est de cette gauche caviar qui prétend défendre les pauvres… Les pauvres d’esprit sans doute !
Auriez -vous découvert seulement maintenant la nature profonde de Jean Luc Merluchon et des Lfistes ?
Je vous suggère amicalement de relire la fable du scorpion et de la grenouille ….