La rentrée des membres du gouvernement est passée. Il est temps de se mettre sérieusement au travail avec, pour commencer, la préparation du budget 2023 qui promet son lot de polémiques. Taxes sur les “superprofits”, suppression de la CVAE (cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises), allègement des droits de succession…, les idées pour augmenter les recettes de l’Etat, ou à l’inverse pour diminuer le matraquage fiscal, risquent de soulever quelques contestations dans l’un ou l’autre des rangs de l’Assemblée. Quant aux dépenses, l’exécutif tente de se rassurer : les débats devraient être plus calmes, car, comme le dit Charles Sitzenstuhl, député de la majorité, “les sujets les plus compliqués seront pour le projet de loi des finances 2024”. C’est vrai qu’il n’y a pas encore urgence, nous sommes à peine à 3 000 milliards de dette !
Contrairement à ce qu’espérait Elisabeth Borne, qui avait demandé aux ministères d’étudier les économies possibles dans leur secteur, presque tous les budgets seront en hausse, pour la modique somme de 14 milliards d’euros supplémentaires. De quoi alourdir un budget lourdementdéficitaire d’année en année. On cherche bien des solutions, comme réformer les aides au logement ou rationaliser le budget de l’apprentissage qui bénéficie surtout aux bac+3 et 5. La réforme la plus importante semble être celle du crédit impôt recherche (CIR), que le gouvernement voudrait recentrer sur les dépenses les plus légitimes et “verdir” en le rendant plus généreux pour les recherches en faveur d’une “économie verte”.
Malheureusement, le budget courageux dont la France a besoin pour libérer les énergies et avoir un Etat plus efficient ne sera pas pour l’année prochaine. Et pour cause, personne ne semble voir les profondes réformes dont les différentes administrations ont cruellement besoin. Un conseiller du gouvernement, cité par L’Opinion, ose affirmer qu’il ”n’y a pas 50 champs dans lesquels faire des coupes”. A l’IREF, on est pourtant à peu près sûr qu’en recentrant l’Etat sur ses prérogatives régaliennes, on saurait les trouver.
2 commentaires
L’énarque, dès la naissance est atteint d’un virus qui le suivra toute sa vie : « L’énarcotechnocratosoviétos ».
Une fois adulte, il tente de jusitifier son activité en créant :
– Des hauts comités (liste impressionnante)
– Des hauts conseils d’orientation
– Des instances consultatives à vocation spécialisée et généraliste
– Le comité national de la refondation
– Les conseils nationnaux d’orientation avec leurs sous sections
Et j’en passe car si vous effectuez des recherches sur internet vous serez sidéré du nombre de comités théodules avec des milliers de personnages inutiles payés par vos impôts.
Il faut bien comprendre que l’énarque, incompétent de nature, a besoin de se rassurer en permanence en créant toutes ces structures parfaitement inutiles et coûteuses.
Il n’a jamais créé la moindre richesses et ne sait que dépenser avec l’argent des autres, celui du secteur privé qui, lui, se défonce en permanence pour faire vivre ces crétins avec leurs impôts, taxes sur les taxes, prèlèvements en tous genres.
L’énarque, lors de ces réunions diverses et variées, cogite intensément jusqu’à ce que son cerveau commence à chauffer. Une fumée s’échappe alors des oreilles de l’intéressé.
Il doit à cet instant reprogrammer son cerveau (une sorte de reset) afin de le faire repartir jusqu’à la prochaine fois !
L’énarque est parfaitement incapable de prévoir ce qui est gravissime lorsque vous dirigez un Pays !
L’énarque prendra systématiquement la mauvaise décision car il est programmé ainsi (cerveau monté à l’envers)
L’énarque peut effectuer des tours de force, comme par exemples, couler une entreprise en 3 mois, faire en sorte que la quasi-totalité de nos centrales nucléaires soient à l’arrêt pour manque d’entretien depuis des années.
Encore plus fort, couler la France en mettant soigneusement tous les voyants au rouge vif (dettes, déficits, gestion catastrophique, etc..)
Il faudra que l’on m’explique pourquoi les français en majorité adorent ces abrutis ??? puisqu’ils les élisent et réélisent ???
Je ne comprends pas qu’un gouvernement puisse partir en « vacances » alors que le pays est en « guerre ». Je ne comprends pas que quelqu’un qui vient de prendre ses fonctions de 1° ministre parte en vacances quelques semaines après avoir été « intronisée ». Je fus entrepreneur et certaines années, lorsque les comptes étaient « chauds » ou que les contrats étaient en baisse, je ne partais pas en vacances. Si ces gens avaient un peu d’amour pour leur pays, ça se verrait : ils ne partiraient pas en vacances !!! Tous une bande de faignasses. Honte à eux, je les maudis jusqu’à la 7° génération.