Ils sont trois à avoir fait des déclarations sur les dépenses publiques. Trois personnalités. Le lucide c’est Manuel Valls, candidat à la primaire PS, qui a déclaré sur le site de Express.fr que « Notre réponse ne peut pas être la dépense publique ». Ila rajouté qu’il faudrait « une nouvelle réforme des retraites plus adaptées au parcours individuel de chacun, une retraite à la carte ».
L’ancien ministre de la défense, Patrick Devedjian, est le réaliste. Toujours sur le même site, il a déclaré qu’il était « favorable à une réduction de la dépense publique » et à une « restitution de l’autonomie fiscale aux collectivités locales ». De même, il souhaite « réduire les dépenses de la Banque de France » et « fermer toutes les sous-préfectures dont le personnel est inférieur à 10 personnes ». Il faudra aussi lancer des privatisations.
Enfin, l’inconscient est Henri Gaino, conseiller du président Sarkozy. Pour lui, les baisses d’impôts c’est fini parce que le désendettement des Etats rend le dumping fiscal plus difficile ». Difficile de comprendre cette affirmation. Ce qui est clair pourtant, c’est que les baisses d’impôts ce n’est pas bien. A vous de choisir le meilleur des trois !