Merci l’agriculture intensive ! Grâce à l’augmentation des rendements, permise par l’usage de produits phytosanitaires et la mécanisation, pour produire 1 unité de culture, il faut 70 % de terres arables en moins en 2020 par rapport à 1961. Comme le montre le graphique ci-dessous tiré d’une infographie de Human Progress, la hausse de la productivité agricole due à l’agriculture intensive permet ainsi de nourrir plus de personnes sur Terre, tout en utilisant moins de surfaces. L’argument écologiste voulant faire croire que l’agriculture productiviste nécessite toujours plus de terres fertiles est totalement infondée. A l’inverse, c’est revenir à « l’agriculture de nos ancêtres » qui nécessiterait plus de place, pour nourrir moins de personnes.
4 commentaires
Monsieur Belaud
A-t-on une idée des contribution respectives aux rendements globaux de la mécanisation et des produits phytosanitaires ?
Bonjour
J’ai lu avec très grand intérêt votre article sur les terres arables.
Je pense que l’avenir passe par l’agriculture raisonnée. Les agriculteurs ont été sous pression des sociétés phytosanitaires par l’intermédiaire de techniciens agricoles ayant des primes sur les ventes de produits.
Donc le dosage était inapproprié et donc la pollution des terres et nappes phréatiques.
L’agriculture bio est je pense condamné à terme d’autant plus que les prix s’écroulent et les rendements bien moindres.
En 1960 nous étions 3 milliards..et on ne parlait pas de sols morts et de nappes phréatiques polluées.
Bien à vous
La culture raisonnée est, de loin, la plus appropriée à une alimentation saine, je pense qu’il serait sage de se tourner vers ce mode de culture et abandonner la culture intensive pour le bien de tous !