Les élections locales et régionales espagnoles ont montré que les électeurs souhaitaient un basculement à droite du paysage politique. C’est le Parti populaire qui a devancé le Parti socialiste avec plus de 10 points. Contrairement à ce que peuvent nous faire croire les médias, l’Espagne est plus guettée par une (nouvelle) révolution libérale que par une révolte gauchisante. Les années Aznar avaient apporté au pays prospérité et forte baisse du chômage.
Cela a été possible grâce à une forte libéralisation de l’économie et à la baisse de la pression fiscale. Puisse le leader du Parti populaire, M. Rajoy, faire la même chose.
(Opinion, 24 mai, Résumé, lire l’article)