« Je ne suis pas le président des riches », se défend Nicolas Sarkozy dans les médias. « Je ne serai pas le président des riches », ne cesse de clamer le candidat socialiste qui veut imposer à 75 % ceux qui ont des revenus supérieurs à 1 million d’euros. Les autres candidats ne sont pas en reste : de l’extrême gauche à l’extrême droite, on veut punir les riches, les faire payer avec la conviction que, d’une part, la crise leur est imputable et que, d’autre part, ils doivent payer pour le redressement du pays. Les politiques se trompent lourdement. Les riches d’aujourd’hui sont aussi ceux qui créent les entreprises et les emplois dont nous avons tant besoin. Pour connaître la vérité sur les riches et combattre la désinformation sur les inégalités, lisez l’ouvrage de Jean-Philippe Delsol et auquel j’ai collaboré : A quoi servent les riches ? (Lattès). Pour l’acheter, cliquez ici . (les bénéfices de la vente du livre sont intégralement encaissés par l’association IREF).
« Je ne suis pas le président des riches », se défend Nicolas Sarkozy dans les médias. « Je ne serai pas le président des riches », ne cesse de clamer le candidat socialiste qui veut imposer à 75 % ceux qui ont des revenus supérieurs à 1 million d’euros. Les autres candidats ne sont pas en reste : de l’extrême gauche à l’extrême droite, on veut punir les riches, les faire payer avec la conviction que, d’une part, la crise leur est imputable et que, d’autre part, ils doivent payer pour le redressement du pays. Les politiques se trompent lourdement. Les riches d’aujourd’hui sont aussi ceux qui créent les entreprises et les emplois dont nous avons tant besoin. Pour connaître la vérité sur les riches et combattre la désinformation sur les inégalités, lisez l’ouvrage de Jean-Philippe Delsol et auquel j’ai collaboré : A quoi servent les riches ? (Lattès). Pour l’acheter, cliquez ici . (les bénéfices de la vente du livre sont intégralement encaissés par l’association IREF).
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Complément d explication sur les baisses d impôt société
Mr Lecaussin,
Je viens de lire votre article dans les échos du 23 avril.
Pourriez vous préciser les mécanismes qui font croître les recettes fiscales à partir de baisses du taux d impôt?
Autre question en lien : quel impact peut avoir une concurrence fiscale exacerbee entre pays ? Par exemple, une baisse au UK peut elle impacter les recettes de ses voisins et avec quelle force?
Merci de votre éclairage.
Florent Barral
Fbarral@yahoo.com