La nouvelle mode, particulièrement en Europe, est de considérer que la relance budgétaire doit se substituer à la politique monétaire pour soutenir la croissance. Ce retour en grâce de la tentation keynésienne est d’autant plus surprenant que le modèle a maintes fois montré ses limites dans l’histoire.
Lire l’article de Jean-Philippe Delsol dans Les Echos (14/02).