Normalement, l’écologie est une science qui étudie les êtres vivants dans leur milieu en tenant compte de leurs interactions. Elle fait partie intégrante de la discipline plus vaste qu’est la science de l’environnement (ou science environnementale). L’écologie est devenue aujourd’hui une arme idéologique aux mains des politiques et de nombreux « acteurs » qui profitent de l’argent public. Elle fonctionne comme une idéologie totalitaire en voulant imposer à tous, au nom de grands idéaux, une certaine façon de vivre et de se comporter.
Les Verts sont des Rouges. Pour le communisme, le programme du Manifeste devait inévitablement instaurer le paradis sur terre. Pour les écologistes, les taxes, les réglementations et la redistribution d’argent public sauveront la Terre et l’espèce humaine. Gare à ceux qui ne s’y soumettent pas. Pas encore de goulag mais il faut avoir un énorme courage pour oser contester (n’oublions pas le sort réservé à un présentateur de la météo sur une chaîne publique qui a osé, non pas mettre en doute le réchauffement climatique, mais dire qu’il apporterait aussi quelques conséquences heureuses …). Ne cédons pas aux utopies en dépensant l’argent des contribuables. L’Allemagne par exemple a toujours affirmé vouloir réduire au plus vite les émissions de CO2 grâce aux énergies renouvelables. Elle a donc pratiqué une politique de subventions et d’investissements massifs. Entre 2013 et 2018, elle a dépensé plus de 160 milliards d’euros en faveur de ces énergies renouvelables. Plus de 30 000 éoliennes installées sur son territoire devraient produire à plus ou moins longue échéance l’équivalent de l’énergie d’une dizaine de centrales nucléaires. Mais quand il n’y a pas du vent, il faut du charbon. Finalement, malgré tout cet argent, les émissions de CO2… sont toujours au niveau d’il y a 10 ans ! Fidèle à ses promesses, l’IREF a donc rempli (ou essayé) la troisième fiche du Grand Débat consacrée à la transition écologique. « Essayer » car plusieurs questions sont biaisées et demandent des réponses orientées. Surtout concernant les dérèglements climatiques et la taxation. L’IREF a essayé d’éviter le piège en soutenant que l’écologie ne doit plus être une arme politique et une source inépuisable d’argent public. Notre meilleur allié écologique est l’innovation, la seule capable de répondre aux « défis de l’avenir ». Faisons confiance aux entrepreneurs et non pas à ceux qui prévoient l’apocalypse tout en demandant des aides publiques. Grand Débat : La transition écologique
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Ecologie..
Ecologie quand tu nous tiens…!
En 2012 la Ville de Dijon a acquis très cher des bus hybrides Heuliez. A grands renforts de publicité,à la fois de la part de la Ville et des médias locaux,nous avons été informés que ces derniers étaient très écologiques grâce au système Stop and Start, c'est à dire : à l'arrêt le moteur diesel est coupé automatiquement et au démarrage un moteur électrique prend le relais jusqu'à 30 kmh puis de nouveau moteur diesel. Sauf que…de l'aveu même de l’exploitant les bus commandés ne sont pas équipés de ce système !!! Ce qui fait (j' habite au dessus d'un arrêt) que ces bus hybrides fonctionnent exclusivement au diesel avec toutes les nuisances sonores et polluantes qui en découlent!