Deux articles américains ont retenu notre attention. Le premier, publié par l’éditorialiste Bret Stephens dans le Wall Street Journal, lance un concours pour désigner celui (ou celle) qui trouvera la prochaine peur après le réchauffement climatique. Le deuxième, intitulé Happy Now ? et publié par Arthur C.
Brooks sur le site du American Enterprise Institute, démontre, sondages et études à l’appui, que les Américains les plus heureux sont aussi ceux qui soutiennent la liberté d’entreprendre et le recul de l’interventionnisme étatique. Aurions-nous les mêmes caractéristiques en France ?