En 1992 paraissait aux Editions Plon le livre de Jean-François Revel intitulé L’absolutisme inefficace ou contre le présidentialisme à la française. Réquisitoire implacable contre le système politique de la Vème…
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La tradition continue. Le pouvoir politique rencontre les organisations syndicales pour discuter des réformes « sociales » à faire. D’un côté, des élus choisis par le peuple, de l’autre, des…
Tout le monde le sait. La gauche est progressiste et la droite est conservatrice (dans le « mauvais » sens du terme). Mais lorsqu’il s’agit de chercher des traces du progressisme de gauche, la mission s’annonce très ardue. On tombe plutôt sur des exemples contraires. Lors du discours d’investiture à l’Elysée, François Hollande n’a même pas mentionné son prédécesseur alors que n’importe quel autre politique l’aurait fait.
Une fois élu, François Hollande a déclaré en finir avec « l’hyper-présidentialisation » de la vie politique française. Un souhait qu’avait formulé aussi son prédécesseur. Et qu’il n’a pas respecté. Non pas à cause de sa mauvaise volonté mais à cause du système français dénoncé brillamment par Jean-François Revel dans L’absolutisme inefficace.
Nicolas Sarkozy n’a pas perdu les élections à cause de sa campagne mais à cause de sa présidence. Il a échoué parce qu’il a renoncé au programme sur lequel il…
Les résultats de dimanche diront s’il s’agit de la dernière affirmation intelligente et pertinente du président Sarkozy. Il serait en effet le moment de voir les syndicats français abandonner les drapeaux rouges qu’ils lèvent constamment depuis des dizaines d’années. Mais comment le faire lorsqu’ils se réclament tous de l’idéologie marxiste et qu’ils en sont toujours à la lutte des classes ?
N’en déplaise à la gauche et aux spécialistes de service, les Français ont voté à droite lors de ce premier tour des élections. L’addition des votes en faveur de Sarkozy,…
Non content d’attaquer violemment les riches, les journalistes ou ses adversaires politiques, le candidat du totalitarisme, Jean-Luc Mélenchon vise même ceux qu’il devrait défendre si l’on s’en tenait à son électorat potentiel, la classe ouvrière. Il s’en prend aux chefs d’entreprise et aux entrepreneurs, les seuls créateurs d’emplois. Il est vrai, pour la gauche, l’Etat aussi est un fournisseur d’emplois surtout par temps de crise.
Je lundi de Pâques, j’ai été l’invité d’Eric Brunet dans son émission « Carrément Brunet », en direct sur RMC. Comme prévu, l’animateur a montré ses compétences et ses connaissances, qualités (très) rares chez les journalistes de radio ou de télé… Bien sûr, il est de droite. C’est d’ailleurs le but de son émission. Faire passer les idées de droite. Mais il le fait de manière intelligente et argumentée, non pas comme les animateurs de gauche qui lancent des diktats et non pas des idées. Face à moi, le sociologue Jacques Cotta, l’incarnation parfaite du sociologue français qui se défend d’être marxiste tout en proférant des sentences tirées directement du capital : les riches contre les pauvres, la classe ouvrière contre la classe dominatrice, les inégalités sont partout, etc… Finalement, lors du sondage de l’émission, j’ai remporté la bataille des arguments avec un score très serré : 51 à 49 %. Un résultat qui m’a tout de suite fait penser aux élections qui approchent. Mais pour quel candidat ? Malheureusement, celui qui défend les libertés économique n’est pas encore connu en France.
Philippe Hayat a raison. Dans une Tribune (30 mars) publiée par Le Figaro et intitulée « Donnez à la jeunesse des envies de conquête », le fondateur de l’association 100…