Walmart, le géant de la distribution américaine, va commercialiser dans ses pharmacies (sur ordonnance) sa propre marque d’insuline analogue. Issu d’une collaboration avec le laboratoire Novo Nordisk, ce médicament sera…
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Oui, bien sûr, il fallait aider les salariés, les indépendants, les entreprises… dès lors que les Etats avaient pris la décision d’immobiliser la société pour cause de pandémie. Mais cet arrêt forcé doublé d’une manne incontrôlée risque d’avoir des effets collatéraux pires que la pandémie.
Aux Etats-Unis, le jeu dangereux des grandes compagnies « progressistes »
Les grandes entreprises américaines aiment se donner une image cool, branchée. Désormais, la mode est de se placer du côté des idées progressistes. Du soutien à Black Lives Matter (BLM),…
A l’issue d’une séance le 24 février 2021, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a publié son avis sur les enjeux et les déclinaisons du «financement des investissements nécessaires pour l’avenir ». Le texte voté par le CESE explique la nécessité d’un « Etat stratège et planificateur ». A la lecture du rapport, sa volonté est évidente : dépenser l’argent du contribuable à flot dans des projets que l’Etat aura définis comme des investissements d’avenir.
Or, personne ne peut prévoir avec certitude d’où viendra l’innovation, l’Etat moins que tout autre. Ses investissements se sont souvent révélés comme des gaspillages dantesques d’argent public et des échecs commerciaux autant que financiers.
Alors que se multiplient les initiatives gouvernementales, pénalisant souvent les entreprises et les consommateurs, pour favoriser la décarbonisation de nos économies, une autre approche est possible. C’est ce que souligne…
Hausse du prix de l’électricité : la faute aux taxes qui augmentent depuis 20 ans
Le prix HT de l’électricité est taxé à environ 48% !
La crise sanitaire et économique a fait s’envoler notre dette publique, et avec elle l’emprise de l’Etat sur la société. Une dérive, selon Jean-Philippe Delsol, qui invite à « faire davantage confiance au marché ».
Face à cette épidémie, regardons et comparons les politiques de certains pays asiatiques. La Corée du Sud et Taïwan sont proches de la Chine, pays d’origine du fléau. Pourtant ces deux pays ont réussi à contenir la propagation du virus. Comment ? Ils ont fait fabriquer très tôt et massivement des appareils ainsi que des portiques qui sonnent automatiquement lorsque celui qui passe dessous a de la fièvre (plus de 37,5 degrés). Ils leur ont adjoint des équipements de géolocalisation et de traçage, permettant de suivre les personnes atteintes, afin de retrouver celles qu’elles auraient pu contaminer. Ainsi l’activité économique a-t-elle pu continuer, chacun étant libre de vaquer à ses obligations s’il n’est pas malade. De fait, la circulation automobile par exemple est normale à Séoul et à Taipei. Cette politique a été possible grâce à une industrie pharmaceutique et médicale privée performante qui a produit ces appareils à grande échelle pour le pays et même pour le monde puisqu’elle en exporte. Cela fait apparaître que les solutions viennent généralement de l’initiative du marché.
Inclusion bancaire ? Que se cache-t-il derrière cette expression qui sent le jargon administratif à plein nez ? Si l’inclusion est le contraire de l’exclusion, alors l’inclusion bancaire s’oppose à l’exclusion bancaire.
La relation entre le populisme et l’économie de marché n’est pas simple. On entend souvent dire que les dirigeants populistes défendent les intérêts du petit peuple contre les élites, jouent avec les peurs et emballements des gens et se soucient peu des effets de leur politique sur le pays. D’où la tension entre des politiques fondées sur l’existence d’un marché sain et l’instabilité de politiques économiques démagogiques, redistributives à outrance, faisant fi des conséquences en termes d’inflation, de dette publique ou de croissance. Lorsqu’un parti populiste est au pouvoir, on peut donc logiquement s’attendre à ce qu’il ne fasse pas bon ménage avec le marché.