Je lundi de Pâques, j’ai été l’invité d’Eric Brunet dans son émission « Carrément Brunet », en direct sur RMC. Comme prévu, l’animateur a montré ses compétences et ses connaissances, qualités (très) rares chez les journalistes de radio ou de télé… Bien sûr, il est de droite. C’est d’ailleurs le but de son émission. Faire passer les idées de droite. Mais il le fait de manière intelligente et argumentée, non pas comme les animateurs de gauche qui lancent des diktats et non pas des idées. Face à moi, le sociologue Jacques Cotta, l’incarnation parfaite du sociologue français qui se défend d’être marxiste tout en proférant des sentences tirées directement du capital : les riches contre les pauvres, la classe ouvrière contre la classe dominatrice, les inégalités sont partout, etc… Finalement, lors du sondage de l’émission, j’ai remporté la bataille des arguments avec un score très serré : 51 à 49 %. Un résultat qui m’a tout de suite fait penser aux élections qui approchent. Mais pour quel candidat ? Malheureusement, celui qui défend les libertés économique n’est pas encore connu en France.
Je lundi de Pâques, j’ai été l’invité d’Eric Brunet dans son émission « Carrément Brunet », en direct sur RMC. Comme prévu, l’animateur a montré ses compétences et ses connaissances, qualités (très) rares chez les journalistes de radio ou de télé… Bien sûr, il est de droite. C’est d’ailleurs le but de son émission. Faire passer les idées de droite. Mais il le fait de manière intelligente et argumentée, non pas comme les animateurs de gauche qui lancent des diktats et non pas des idées. Face à moi, le sociologue Jacques Cotta, l’incarnation parfaite du sociologue français qui se défend d’être marxiste tout en proférant des sentences tirées directement du capital : les riches contre les pauvres, la classe ouvrière contre la classe dominatrice, les inégalités sont partout, etc… Finalement, lors du sondage de l’émission, j’ai remporté la bataille des arguments avec un score très serré : 51 à 49 %. Un résultat qui m’a tout de suite fait penser aux élections qui approchent. Mais pour quel candidat ? Malheureusement, celui qui défend les libertés économique n’est pas encore connu en France.