Les négociations sur le climat ont commencé lundi, 28 novembre, à Durban, en Afrique du Sud. Les participants essaient de prolonger le Protocole de Kyoto qui doit s’arrêter l’année prochaine. Les Etats-Unis, la Russie, le Japon, le Canada et l’Union européenne ont déjà averti qu’ils ne signeraient pas un nouveau Protocole. Ils ne sont pas prêts à verser 100 Mds de dollars par an pour lutter contre les changements climatiques. Et depuis quelques années, les mentalités commencent à changer malgré le bombardement médiatique et le matraquage des écologistes.
On a assisté aux tromperies du GIEC sur la hausse des températures et la fonte des glaciers. On a connu le Climategate avec les centaines de mails qui montraient le terrorisme auquel sont soumis les scientifiques qui contestent le réchauffement climatique. Et plus récemment, on a pu voir plusieurs chercheurs accepter le fait que l’homme n’était pas à l’origine du réchauffement, s’il y en a un. Mais, comme le montre très bien Bret Stephens, la climatologie s’est transformée en fanatisme religieux. Ses ayatollahs n’acceptent pas les critiques et leurs prophéties ne peuvent être qu’imparables. Ils nous obligent à changer notre style de vie, à nous adapter en permanence. Ils imposent de nouvelles taxes et réglementations et veulent étouffer les industries qu’ils considèrent comme polluantes. Pourtant, cela fait presque 7 ans que le territoire des Etats-Unis n’a pas été touché par un ouragan de force 3. Du jamais vu depuis plus d’un siècle.
(Wall Street Journal, Bret Stephens, 29/11. Lire l’article )