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Emmanuel Macron aura vraiment tout raté

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  1. Un jeune homme de 39 ans entre à l’Elysée au terme d’une brillante campagne, malgré l’absence de programme consistant ou, c’est selon, grâce à l’inconsistance de son programme. Et en bénéficiant également d’un fort mouvement de rejet de la candidate d’extrême droite qui aura démontré toute son incompétence en matière économique lors du débat du second tour.
  2. La popularité d’Emmanuel Macron est en berne, de l’ordre de 20 à 25 % suivant les sondages. Trois Français sur quatre ne lui font pas confiance (d’aucuns diraient que c’est encore un résultat inespéré !), même si François Hollande (vous savez : celui qui a pour ambition de redevenir chef de l’État car, lors de son quinquennat, « ce n’était pas si mal »…) aura signé des records en la matière.

Comment expliquer ce désenchantement ? C’est qu’Emmanuel Macron aura tout raté depuis sept longues années.

La dissolution

Commençons par le plus proche. Emmanuel Macron a décidé de dissoudre l’Assemblée nationale en juin dernier. Contrairement à ce qu’ont prétendu de nombreux analystes, cette décision avait sa logique : le chef de l’État, il l’a d’ailleurs dit plusieurs fois, voulait anticiper une censure annoncée du gouvernement minoritaire à l’automne autour des questions budgétaires. La dissolution visait également à produire un électrochoc en assurant une majorité absolue aux troupes du parti présidentiel et de ses alliés.

La manœuvre a tourné court et elle a produit une chambre fragmentée comme jamais. Mais ce qui est piquant, c’est que les deux motifs exposés par Emmanuel Macron dans son allocution de dissolution ont été déçus : l’adoption du budget et la « clarification ».

La recomposition du système politique

Issu de la gauche, chevènementiste dans sa prime jeunesse, un temps membre du Parti socialiste, proche de François Hollande avant de le poignarder dans le dos, Emmanuel Macron s’est mis en tête de dynamiter le système politique français en pleine recomposition. Adepte du « ni droite ni gauche », plus précisément du « en même temps », il s’est inscrit dans la longue tradition des partisans d’une « troisième voie ». Pas étonnant dès lors qu’il ait trouvé un soutien de poids avec le chantre de l’extrémisme du centre, François Bayrou, l’actuel Premier ministre.

Cependant  jusqu’à présent, sous la Ve République, ce type de tactique n’a jamais fonctionné de manière durable. Les dernières élections législatives ont sonné comme un terrible désaveu. En effet, le Rassemblement National et le Nouveau Front populaire mené par la gauche radicale y ont recueilli 57 % des suffrages, sans compter les listes dissidentes aux deux extrêmes.

Les finances publiques

Malgré son importance, nous traiterons rapidement de ce point, nos lecteurs connaissant bien les chiffres. En deux mots, Emmanuel Macron a hérité en 2017 de finances très dégradées, dont il se trouvait responsable pour une petite partie en sa qualité de ministre de l’Economie durant deux années sous François Hollande. Sept ans plus tard, les résultats sont cataclysmiques et les macronistes (le dernier cercle qui reste…) auront beau jeu de tout mettre sur le dos de la crise sanitaire. Un chiffre retient particulièrement l’attention : depuis 1789, sous la République en temps de paix, aucun pouvoir n’aura produit un déficit budgétaire plus élevé.

La politique internationale et les outres-mers

Même si la France est une puissance moyenne, elle possède le second domaine maritime mondial derrière les Etats-Unis. Fût-elle très décriée (la « Françafrique »), elle conservait une puissante influence sur les pays africains francophones. Sous Emmanuel Macron, les troupes militaires ont dû piteusement se retirer du Mali, du Burkina-Faso, du Niger, et en dernier lieu du Sénégal et du Tchad.

A moult reprises, Donald Trump s’est ouvertement moqué du chef de l’État français. Les tentatives de résolution des crises au Liban, en Israël, en Ukraine ont toutes fait chou blanc, parfois après force circonvolutions. Il y a longtemps que plus personne ne tient compte des positions françaises, taxées d’arrogantes et de donneuses de leçons dans l’impuissance.

Des émeutes graves se sont succédé dans nos outre-mer, en Nouvelle-Calédonie mais aussi aux Antilles, tous victimes d’une politique surannée qui fait fi de la subsidiarité et de la concurrence. Si l’on voulait perdre des territoires, parfois stratégiques, on ne s’y prendrait pas autrement.

Le réformisme

On se souvient des déclarations initiales d’Emmanuel Macron : les « Gaulois » étant « réfractaires au changement », la France étant par conséquent irréformable, il fallait opérer une « grande transformation » (titre éponyme d’un ouvrage de Karl Polanyi, un économiste fort peu libéral, tiens, tiens…). Force est de constater, sept années plus tard, que le chef de l’État n’aura entrepris aucune réforme d’ampleur. Il aura même réussi l’exploit, après l’épisode confus des « Gilets jaunes », de mettre dans la rue en cumulé des millions de Français pour une prétendue réforme des retraites qui n’était autre qu’une réformette, aujourd’hui déjà dépassée.

En dépit de ses gesticulations, Emmanuel Macron aura amplifié les défauts de l’État : hypercentralisé, immobile, engoncé dans son bureaucratisme, interventionniste pathologique, doté d’un « modèle social » moribond dont nul ne veut s’inspirer.

Le libéralisme

Combien de fois n’a-t-on entendu dire qu’Emmanuel Macron, le « président des riches », n’était qu’un libéral ? On a confondu, fût-ce de bonne foi, éléments épars de « politique de l’offre » et libéralisme. Or, il ne suffit pas de baisser un impôt sur les entreprises, de réduire leurs charges ou de témoigner de la considération aux créateurs de richesses pour être catalogué comme libéral. Il est d’ailleurs bien connu que François Hollande avait initié à certains égards le mouvement au milieu de son quinquennat.

Nul ne peut prédire comment le second quinquennat d’Emmanuel Macron se terminera. Mais il ne faut pas être grand clerc pour entrevoir une (plus ou moins) lente agonie. Comme en économie, en politique il existe des lois : quand vous n’avez aucun corps de doctrine, quand vous naviguez à vue, quand vous versez dans le pragmatisme et l’inconsistance, quand, en définitive, vous ne maîtrisez rien, absolument rien, la réalité finit toujours par vous rattraper.

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23 commentaires

Berzud 17 décembre 2024 - 9:02 am

On a les présidents qu’on mérite. La France s’enfonce depuis des années, n’ayant d’autre alternative que le choix du moins pire, qui, in fine s’avère le pire des choix. Il était pourtant évident de constater la grande fragilité psychologique de ce jeune homme, pendant sa campagne. Un peu plus tôt les Français ont voté pour Tartuffe qui ose sans vergogne se présenter à l’assemblée.

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gillet 17 décembre 2024 - 9:12 am

La dette aurait dû être sa priorité en 2017,au lieu de ça il a préféré soigner son aura;concept coloré.

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Jojo 17 décembre 2024 - 9:12 am

Macron, jusqu’à peu, maîtrisait quand même sa communication. Mais cette écorce mince qui cachait plus ou moins bien la réalité, a fini par craquer. Et l’horreur de la réalité apparait doucement. Les conséquences à moyen et long terme sont encore dans le brouillard. Eviterons nous la révolte, voire la guerre civile, quand elles seront clairement visibles ?

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Jacques GAUTRON 17 décembre 2024 - 12:04 pm

Excellent, Cher Ami, une fois de plus tu as parfaitement résumé ce qu’a été ce “septennat”, une rapide descente aux enfers de la politique.

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Feldman Jean-Philippe 17 décembre 2024 - 5:24 pm

Merci, mon cher Jacques.
Me Jean-Philippe Feldman

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Vaast 22 décembre 2024 - 9:24 pm

Et si, vous êtes en pleine contradiction car vous accablez un Predident qui a été élu deux fois et qui s’efforce, avec bien des difficultés et certainement des erreurs, de faire avancer la France vers plus de serenité. Comment pouvez vous laisser croire que tous les problèmes peuvent être résolus en un clin d’œil, comme par magie avec quelques décisions? Comme si les structures de la société étaient facilement transformables, comme si elles ne continuaient pas à se défendre?
Vos commentaires ne sont pas dignes d’un « économiste » soit disant libéral, qui devrait connaître un peu l’histoire des sociétés et de leurs rigidités.

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Feldman Jean-Philippe 23 décembre 2024 - 6:11 pm

Vous indiquez que je serais un “économiste” (guillemets inclus) et que je serais “soit-disant libéral”, tout en n’y connaissant rien. Je vous remercie pour vos charmants propos.
Vous avez raison à 50 pour cent. D’abord, je ne suis pas un économiste, mais un juriste (je traduis: un “soit-disant juriste”). Ensuite, je confesse, malgré mes plus de 200 publications sur le libéralisme, ne rien y connaître. C’est la raison pour laquelle les dirigeants de l’Iref, dans leur inconscience de prétendus libéraux, m’ont fait confiance pour publier de prétendus articles.

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Virgile 1 janvier 2025 - 3:17 pm

Il en faut de l’inconscience pour défendre Macron après qu’il est ruiné la France! Plus de 1000 milliards de dette supplémentaire en 7 ans et vous l’ignorez? Il s’efforce en rien, sinon rester à son poste et gaspiller encore plus de notre argent!

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Picot 17 décembre 2024 - 12:34 pm

Vous n’y êtes pas Mr Feldman. Macron ne rate rien du tout, au contraire. Avant d’être ministre de Hollande ce personnage a dit, dans une vidéo devenue introuvable, que sa mission était de “détruire la France telle qu’elle était”. Après deux élections truquées il fait cela à la perfection. Et, malheureusement, il n’a pas encore tout à fait fini.

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M Jacques Baudouin 17 décembre 2024 - 12:46 pm

Soyons optimistes : Il lui reste à casser encore quelques bricoles, par exemple les vases que Trierweiler n’a pas réussi à casser lors de sa colère contre capitaine pédalo !
Personne ne pouvait imaginer que ce jeune homme était aussi nul ! Je voulais voter pour lui mais après avoir lu son programme 2017 plein d’erreurs et de mensonges je me suis dit que s’il passait ce serait une véritable catastrophe pour la France.

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Guerin Patrice 17 décembre 2024 - 2:42 pm

Comment notre Mozart de la finance qui ne se sent coupable de rien peut il encore envisager sans rougir de sanctionner , non les coupables ( dont il est) mais les victimes qu’il veut de nouveau racketter ?

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Van Heuven Georges 17 décembre 2024 - 3:08 pm

Je vous ai déjà donné mon point de vue sur le Point hier. Je partage votre opinion quant à affirmer que Macron reste le socialiste qu’il était avec Hollande, puisque l’Etat est toujours de plus en plus obèse. Mais affirmer qu’il est responsable de tous nos maux est une erreur. Ce sont les Français qui sont responsables de notre endettement et ce sont tous les gouvernements, depuis Mitterrand, qui les ont suivis. Les Français n’ont rien compris et persistent à penser, avec l’appui des partis populistes, qu’il est possible d’augmenter notre niveau de vie en travaillant et en étudiant moins! il faut le répéter chaque jour: pour augmenter notre productivité défaillante, il faut travailler plus et travailler mieux (pour booster la PMF)…

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Feldman Jean-Philippe 17 décembre 2024 - 5:26 pm

Monsieur,
Je suis pleinement de votre avis: la prime responsabilité incombe aux Français. Contrairement à ce que proclament nos populistes, de droite comme de gauche. Mon article n’est évidemment en rien contradictoire avec cette idée.
Me Jean-Philippe Feldman

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MIMOSAS 19 décembre 2024 - 1:28 pm

Comment peut-on incriminer si vertement les Français ? Qui les éduquent à l’économie en leur disant qu’il faut aller chercher l’argent où il est, que les dividendes c’est pas bien, que la capitalisation c’est pas bien etc ? Leurs professeurs d’économie (entre autres) qui sont majoritairement des gauchistes. Quel politique s’attaque à ce mastodonte ? Aucun. Macron a même nommé Pap nDiaye…
Quand aux journalistes, qui pourraient rétablir des vérités, là encore, formation gauchiste !
C’est facile de dire que les Français votent mal. Il serait beaucoup plus intelligent de dire que les Français ne sont pas formés, ni à l’économie, ni à l’esprit critique. Et là, le politique peut intervenir, mieux former, expliquer, et ce dès le collège. Mais non. En revanche, pour balancer du “populiste” ou de “l’extrême-droite”, ils sont champions.
Les premiers responsables ne sont pas les Français, mais bien les politiques, Président en tête. Qui a choisi de s’accoquiner avec les “populistes” de gauche car, rappelons-le, la France est de droite mais vote à gauche, et c’est bien parce que lorsqu’ils arrivent au pouvoir, nos politiques veulent y rester et sont prêts à toutes les compromissions pour cela.
Mais former correctement la génération suivante, ça, il n’y en a pas un pour s’en occuper !
Donc non, la prime responsabilité n’incombe pas aux Français, mais bien aux politiques et la période actuelle le prouve parfaitement : pourquoi Sarkozy en son temps, et surtout Macron depuis 7 ans n’ont-ils pas revu le mode de recrutement et la formation des enseignants ? Pourquoi l’école Sciences Po est-elle tombé aussi bas ? La faute des Français, vraiment ?

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MIMOSAS 19 décembre 2024 - 1:50 pm

Comment peut-on incriminer si vertement les Français ? Qui les éduquent à l’économie en leur disant qu’il faut aller chercher l’argent où il est, que les dividendes c’est pas bien, que la capitalisation c’est pas bien etc ? Leurs professeurs d’économie (entre autres) qui sont majoritairement des gauchistes. Quel politique s’attaque à ce mastodonte ? Aucun. Au contraire même avec Macron et un certaine ministre de l’Education Nationale.
Quand aux journalistes, qui pourraient rétablir des vérités, là encore, formation gauchiste !
C’est facile de dire que les Français votent mal. Il serait beaucoup plus intelligent de dire que les Français ne sont pas formés, ni à l’économie, ni à l’esprit critique. Et là, le politique peut intervenir, mieux former, expliquer, et ce dès le collège. Mais non. En revanche, pour balancer du “populiste” ou de “l’extrême-droite”, ils sont champions.
Les premiers responsables ne sont pas les Français, mais bien les politiques, Président en tête. Qui a choisi de s’accoquiner avec les “populistes” de gauche car, rappelons-le, la France est de droite mais vote à gauche, et c’est bien parce que lorsqu’ils arrivent au pouvoir, nos politiques veulent y rester et sont prêts à toutes les compromissions pour cela.
Mais former correctement la génération suivante, ça, il n’y en a pas un pour s’en occuper !
Donc non, la prime responsabilité n’incombe pas aux Français, mais bien aux politiques et la période actuelle le prouve parfaitement : pourquoi Sarkozy en son temps, et surtout Macron depuis 7 ans n’ont-ils pas revu le mode de recrutement et la formation des enseignants ? Pourquoi l’école Sciences Po est-elle tombé aussi bas ? La faute des Français, vraiment ?

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Bruno GERMAIN 17 décembre 2024 - 6:37 pm

A l’inverse du ” Le PIRE N’EST JAMAIS CERTAIN”, avec lui, il est certain que nous n’avons jamais eu pire que ce petit prétentieux suffisant dont aujourd’hui le monde entier se fout, et ayant conduit la France au bord, sinon au fond du précipice.
Tout aura été également organisé par ses minables cireurs de pompes de l’énarchie pour qu’il se donne en spectacle. Mais le troisième acte de son Opéra Bouffe va définitivement l’anéantir sous les sifflets, et ses blabas, c’est finie !
Quant à Bayrou ! Beurk ! Quelle médiocrité, duperie et égo maladif, (qualité de famille) !
L’ancien bègue devrait réjoindre définitivement ses montagnes pyrénéennes et garder les brebis en bêlant. Mais le virus sera-t-il vaincu !

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valldo 18 décembre 2024 - 12:16 am

Un constat bien décevant mais réel, le president est même arrivé à se mettre les chefs d’états africains à dos, qui n’est pas bon pour les intérêts économique du pays.

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cheguillaume 18 décembre 2024 - 11:01 am

Très bonne vision, hélas.

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roger CANONERO 18 décembre 2024 - 6:37 pm

micron 1er a montré son incapacité à remettre la France sur les rails du progrès. Bien au contraire, il n’a rien réussi de bon ! dans une véritable entreprise, il aurait été licencié avant que l’entreprise ne mettre la clé sous la porte. Il l’a fait avec l’Entreprise “FRANCE” et, pourtant, il reste en place, vent debout !! Une situation intenable pour beaucoup de Français qui soufrent par sa faute. Il rendrait un grand service en laissant la place à d’autres, mais surtout pas à une gauche ingérable ni dans l’esprit, ni dans les faits, encore moins dans la conduite des finances.

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Robert 20 décembre 2024 - 4:35 pm

Comme le dit Dominique Reynié :
Il y a maintenant 40 ans que les choses se dégradent sans qu’aucun problème de fond ne
soit traité.
Nous sommes au stade de l’effondrement systémique.
Je ne suis pas certain que notre pays ait le sens de la réforme, sinon on l’aurait montré
avant. Par contre le pays a l’habitude des ruptures brutales.
Il va falloir prendre des décisions extrêmement désagréables dans un pays qui a perdu
l’habitude de supporter des décisions désagréables quoi qu’on en dise.
C’est une révolution mentale qu’il faudrait faire en peu de temps je ne suis pas sûr qu’on en
soit capable.
Ce sont tous les Français qui ne sont pas raisonnables et ne sont pas suffisamment sérieux.
C’est un peu facile. Vous ne pouvez pas renvoyer aux dirigeants la responsabilité de ne pas
prendre les décisions que de toute façon vous ne leur laisserez pas prendre.
La responsabilité tient aux 49 millions d’électeurs.

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Robert 20 décembre 2024 - 4:40 pm

Les 5 raisons pour lesquelles il fallait être inconscient pour voter Macron en 2017 :
1. L’affaire de la vente du Monde avec le double jeu et la trahison de Macron
https://www.lepoint.fr/politique/quand-macron-jouait-a-cache-cache-avec-des-journalistes-11-02-2017-2104077_20.php
2. La vente d’Alstom à des intérêts étrangers avec la perte des turbines Arabelle de nos centrales nucléaires
https://www.youtube.com/watch?v=k_BwAiQo5k4
https://lvsl.fr/rachat-des-turbines-arabelle-la-soumission-francaise-aux-etats-unis-continue/
3. La (les) vidéo(s) du psychiatre italien démontrant que Macron est un psychopathe amoral
https://youtu.be/YOhKBWTaOlY
https://www.francesoir.fr/politique-france/adriano-segatori-macron-psycopathe
4. Les meetings électoraux de Macron en état d’hystérie
https://www.youtube.com/watchv=DBBdlz0K85o
https://www.facebook.com/Boccaletti83/videos/emmanuel-macron-hyst%C3%A9rique-le-26-avril-%C3%A0-arras/630258900499992/?_rdr
5. La déclaration de patrimoine de Macron au PNF
Voir le livre de Nicolas Lecaussin à ce sujet qui n’a fait l’objet d’aucune poursuite de la part de Macron… 155 ke de patrimoine déclaré alors qu’il a d’évidence touché une commission de succès sur la vente des petits pots Pfizer à Nestlé de l’ordre de 10 à 15 millions d’euros. A noter déjà Pfizer…
Et oui, personnellement j’avais vu et analysé tout ça avant le scrutin…
Toutes ces raisons étaient connues bien avant l’élection de Macron et donc la catastrophe aurait pu être évitée…

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Denis Huneau 30 décembre 2024 - 7:40 pm

Je pense qu’il faut lire 2024, et non 2018, pour retrouver la durée de 7 années évoquées

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Virgile 1 janvier 2025 - 3:09 pm

Les français n’ont que ce qu’ils méritent. Elire le conseiller économique puis ministre de Hollande, après son mandat catastrophique, donc le responsable, ne pouvait se terminer qu’en catastrophe!

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