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Ce n’est pas un hasard si une nouvelle statue de Karl Marx a été érigée en grande pompe dans la ville de sa naissance, Trèves. La pensée marxiste a connu un retour en vogue pour toutes sortes de mauvaises raisons, y compris dans les cercles politiques. Il faudra faire attention, car le socialisme n’a créé que pauvreté, oppression et génocide. Le socialisme s’est avéré un échec à plusieurs reprises, systématiquement et sans exception. L’Union soviétique de Staline et Brejnev, l’expérience sanglante de Pol Pot au Cambodge, plus récemment le Venezuela d’Hugo Chavez et de Nicolas Maduro, sont des exemples frappants des catastrophes que ce système provoque inévitablement dans les pays qui l’adoptent. Mais qu’est-ce que le socialisme ?
L’événement est passé presque inaperçu en France. Et pour cause. Les Français ne sont pas habitués à des décisions de ce genre. Le 5 mai dernier, la Cour constitutionnelle allemande…
La visite du président français Emmanuel Macron en Pologne début février était un effort pour compenser les forces centrifuges post-Brexit qui s’exerçaient sur l’Union européenne. Il est regrettable que la plupart de ses remarques aient consisté à faire la leçon aux États d’Europe centrale sur les avantages de l’harmonisation. M. Macron et les autres dirigeants de l’UE devraient plutôt se rendre compte que la force de l’Europe réside dans la variété de ses identités et de ses approches.
Il existe plusieurs politiques rentables et favorables au marché qui pourraient être mises en œuvre par l’Allemagne et l’Union européenne pour réduire l’impact des émissions de carbone sur l’environnement. Toutefois, ces solutions sont mises de côté alors que la Commission européenne tente de créer une économie planifiée par des mesures “vertes”.
La Note du GIS démontre que le nouveau plan fiscal sur le numérique de l’OCDE aurait des effets dramatiques sur nos économies. La taxation pousserait les acteurs du numérique et à prendre des mesures qui pourraient pénaliser les consommateurs et ouvrirait la porte à un impôt minimum mondial sur les bénéfices des sociétés.
Une nouvelle série de mesures fiscales et de subventions prévoit des dépenses supplémentaires et une taxe sur le dioxyde de carbone dans certains secteurs. Les mesures proposées pourraient conduire à l’inefficacité économique.
La politique est un compromis entre l’imaginable et le réalisable, et la politique climatique allemande est un cas d’objectifs ambitieux freinés par la réalité. Les dernières tentatives de Berlin pour établir un équilibre se sont soldées par des complications et des contradictions.
Les élections en Saxe et dans le Brandebourg ont montré que l’Union chrétienne-démocrate et le Parti social-démocrate perdent du terrain. A moins de s’attaquer réellement aux préoccupations des électeurs, migration, sécurité et lutte contre la pollution, les deux partis n’ont que peu de chances de bien s’en sortir aux élections fédérales.
L’histoire contient de nombreux exemples de ce qui se passe lorsque les politiciens prennent le contrôle de la monnaie. Peu d’entre eux finissent bien.
Début mars, l’OCDE a revu à la baisse ses perspectives économiques mondiales, à la fois pour 2019 et pour 2020. Cela, à cause du Brexit et de l’insécurité engendrée par la querelle commerciale entre les Etats-Unis et la Chine. Pour les mêmes raisons, la Banque centrale européenne a décidé de reporter la hausse des taux d’intérêt qu’elle avait prévue, la première après la crise. Des responsables de la BCE ont déclaré qu’ils considéraient ces deux « menaces » comme dangereuses pour l’économie de l’eurozone.
Le président français Emmanuel Macron et le ministre des Finances allemand Olaf Scholz en appellent à une Europe forte. Par défiance envers Washington ?