Jacques Attali donnait vendredi matin sur Europe 1 une nouvelle idée lumineuse à ajouter à son palmarès : donner 1 200 € par mois à tous les étudiants. L’État paie…
jeunesse
Voilà des semaines, des mois même, que les médias nous alertent sur la situation préoccupante des étudiants. Enfermés entre quatre murs, privés de sorties et de soirées, seuls devant leur…
10 000 euros garantis par l’Etat pour les moins de 25 ans : une fausse bonne idée
Proposé par la République en Marche, le dispositif aiderait les jeunes à démarrer dans la vie, avec un prêt de 10 000 euros remboursable sur 30 ans. Mais plutôt que de créer de la dette, il faudrait clarifier et simplifier les aides déjà en place.
Souvenez-vous, à 14 ans, vous rêviez de coucher avec votre prof’
Les victimes d’inceste parlent sur les réseaux sociaux, avec #MeTooInceste, des viols subis alors qu’ils n’avaient que 14 ans, Camille Kouchner lève le voile sur les agressions répétées commises par…
Un revenu de base inconditionnel dès 18 ans ? Vraiment ?
Nicolas Lecaussin est face au député socialiste Boris Valland sur FranceInfoTV pour débattre de la proposition d’instaurer un revenu de base inconditionnel pour tous et dès l’âge de 18 ans ! Voir l’émission.
Pour éviter le conflit des générations : la solidarité intergénérationnelle
Le 10 juin dernier et face aux polémiques qui montaient, nous avions choisi un titre quelque peu provocateur: « Les retraités ont vraiment de la chance : plus de 30 000 morts dus à la pandémie » pour alerter les lecteurs de l’IREF sur les dissensions qui se faisaient jour de part et d’autre d’un bout à l’autre de la chaîne des âges. Le moins qu’on puisse dire au début de ce second confinement , c’est que loin de s’apaiser, les tensions ont repris avec une vigueur accrue et qu’elles commencent à flirter de manière inquiétante avec le conflit de générations.
L’été dernier, le premier ministre Édouard Philippe, saisissait le comité économique, social et environnemental (CESE) pour qu’il s’interroge sur l’avenir du travail à l’occasion du centenaire de l’organisation internationale du travail (OIT).
L’institution de la place d’Iéna a bien sûr obtempéré et a livré son avis il y a quelques semaines. Le document, intitulé « Les jeunes et l’avenir du travail », comprend deux parties. La première livre un état des lieux ; la seconde des préconisations dont l’ambition est de « construire la société de demain ».
Philippe Jamet, directeur général de l’institut Mines-Télécom, livre dans son petit livre une analyse critique et décapante de l’Education nationale.
Qu’y a-t-il de plus important ? Trouver une famille d’accueil pour les enfants démunis, ou la politique identitaire? A Philadelphie, la question soulève une crise aggravée par la réponse de la gauche, dans une ville qui laisse des centaines des enfants quasi à l’abandon dans des centres de placement.
La ministre du Travail Muriel Pénicaud a dévoilé le 27 avril 2018 son « Projet de loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel ». Le texte n’apporte rien de nouveau sur la formation professionnelle par rapport à ce que nous savions déjà et que nous avons détaillé ici-même il y a quelques jours. Il est donc peu probable que les « mesurettes » de Muriel Pénicaud arrivent à changer la donne. Le mal est bien plus profond, et c’est une tout autre politique en matière d’enseignement qu’il faudrait mettre en œuvre.