« J’espère que le jury rendra un verdict juste », a déclaré le président Biden lors du procès Derek Chauvin, le policier accusé du meurtre de George Floyd. Il a…
islamisme
Les mots d’Emmanuel Macron, qui redoutait des « flux migratoires irréguliers importants » suite à la prise de Kaboul par les talibans, ont fait couler beaucoup d’encre. Certains considèrent que…
Le retrait honteux d’Afghanistan : la débâcle de Biden et le feu vert donné aux terroristes
Dans sa déclaration de samedi 14 août, le président Joe Biden a affirmé avoir agi de la sorte en Afghanistan car son prédécesseur, M. Trump, avait conclu un accord avec…
Depuis le début des années 1980, de nombreux intellectuels du monde musulman ont dû se réfugier en Occident, contraints de fuir leurs pays respectifs où leur liberté mais aussi leur vie étaient menacées soit par le pouvoir d’État, soit par des groupes religieux ou des masses de croyants fanatisées. Les noms des premiers venus sont bien connus : Salman Ruhsdie, Taslima Nasreen, Ayaan Hirsi Ali, Chandortt Djavaan, Waleed Al Husseini. Puis d’autres ont suivi jusqu’à nos jours, moins placés sous les projecteurs de l’actualité mais qui ont pris avec éclat la relève — on trouvera leurs noms dans une note bibliographique à la fin du texte. Leurs crimes à tous ? Avoir tout simplement voulu vivre en libres individus dans leurs pays d’origine, en disposant d’eux-mêmes sans autorisation des autorités et groupes religieux, en bénéficiant de la liberté de conscience et de celle, pour les femmes, d’être les égales des hommes pour se vêtir et exercer leur sexualité. Et pire : d’avoir osé non seulement le faire mais le dire, de publiquement protester quand ces exigences élémentaires leur étaient refusées. Autant de manières censées offenser la religion — impardonnable en terre d’islam, et y méritant forcément la relégation carcérale et, souvent, la mise à mort.
En Iran, les aides de l’État augmentent le nombre de mariages forcés
Un État qui sort de ses fonctions régaliennes multiplie les risques d’erreurs. La République islamique d’Iran en montre un exemple parfait avec l’augmentation des mariages de jeunes filles de moins…
On ne présente plus la jeune Mila. Il y a un an, la jeune fille de seize ans déclenche l’une des plus grandes polémiques de l’année en publiant, sur Instagram, une vidéo où elle insulte Allah. Son livre nous rappelle que Mila est une jeune fille qui porte la haine islamique sur ses épaules, et que, pour paraphraser une autre célébrité de 16 ans, l’islam lui a volé ses rêves et son enfance.
Xavier Bertrand, candidat à la présidentielle 2022, affine ses positions au fur et à mesure des interviews. Dans le Figaro de ce vendredi 16 juillet, le président du conseil régional…
La Cour de justice de l’UE confirme la prédominance de la neutralité religieuse au travail
La France n’est pas le seul pays à avoir des débats juridico-politiques au sujet du voile. En Allemagne, une entreprise a demandé à deux de ses employés de ne pas…
L’offensive de l’Autriche contre l’islam politique peut-elle servir d’exemple pour la France ?
L’Autriche aussi a connu son novembre noir. La capitale, Vienne, a été frappée par le terrorisme le 24 novembre 2020, les assaillants ciblant six lieux de la ville. Le bilan…
Le 19 juin dernier, l’Observatoire du décolonialisme et des idéologies identitaires a rendu public un rapport corrosif concernant les manifestations idéologiques à l’université et dans la recherche. Nommé dans les médias rapport sur l’islamo-gauchisme à l’université, il se substitue à celui que le CNRS a refusé de faire. A la lecture des seules conclusions, on peut comprendre pourquoi ! Au travers d’une revue des thèses en sciences sociales et humaines, des publications et programmes de recherche, des axes des enseignements et des séminaires, et des preuves de « cancel culture », le rapport de L’Observatoire est sans ambiguïté : l’université publique française est sous la coupe du racialisme, du féminisme radical, de l’intersectionnalité, du décolonialisme, et plus largement de l’islamo-gauchisme.