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Sciences-po, l’école des propagandes, propalestinienne et transgenre

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Etre directeur de Sciences-po comporte depuis quelque temps des risques certains. L’un d’eux a été retrouvé mort dans une chambre d’hôtel de Manhattan, un autre a été accusé de violences conjugales et a démissionné. Le poste semble maudit. L’école elle-même, autrefois un établissement d’élite, l’est peut-être aussi. Cela fait maintenant des années qu’elle s’est lancée dans une politique très favorable à la diversité et qu’elle a ouvert ses portes aux jeunes issus des banlieues. Je me souviens que, lorsque j’y étais élève dans les années 1990, l’examen d‘entrée était difficile. Il a été peu à peu remplacé par un dossier tenant plus compte du milieu social des candidats que de leurs aptitudes (les régimes communistes réservaient ainsi une bonne moitié des places dans les universités aux jeunes ayant, selon l’expression officielle, des « origines sociales saines »). La discrimination positive s’est substituée au test des connaissances et l’écriture inclusive est devenue la norme. Les conséquences n’ont pas tardé à se faire sentir : baisse du niveau, renommée de l’école ternie, départ de certains enseignants et élèves, gangrène gauchiste. Les sondages montrent d’ailleurs que Jean-Luc Mélenchon est en tête du hit-parade des hommes politiques dans les salles et les amphis… Il ne fallait donc pas s’étonner de la mobilisation pro-palestinienne et de la Semaine de la Palestine organisée récemment. NI du « Mois de la diversité, de l’égalité et de l’inclusion » à l’occasion de la « Journée internationale de la visibilité trans ». A cette occasion la bibliothèque de l’école a diffusé sur les réseaux une sélection (voir l’image plus bas) de livres et articles de revues disponibles « portant sur l’histoire des transidentités, l’évolution de la place des minorités transgenres dans la société et les discriminations dont elles sont victimes, en France et dans le monde. »

Les élèves ont le droit d’avoir des opinions politiques mais pas celui d’occuper des amphithéâtres et exclure les étudiants juifs. Et l’école ne devrait en aucun cas faire de la propagande, quelle qu’elle soit. Pauvre Sciences-po.

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10 commentaires

Rouanne 30 mars 2024 - 7:46

Sciences-Po pour sciences pourries.
C’est très grave car se sont des fonctionnaires que l’on « forme «  normalement !!!!
Notre société et civilisation sombre et même je dirais est fini le chaos et la violence font lois maintenant…..

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Broussard 30 mars 2024 - 8:55

Sans doute ne suis-je pas assez accro aux infos ou aux ragots ;
je ne me souviens pas avoir entendu parler du décès de ce dirigeant à Manhattan ;
pour une saine information, peut-on savoir en quelle année et surtout de qui il s’agissait ?
Christian B.

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Nicolas Lecaussin 1 avril 2024 - 9:48

3 avril 2012, Manhattan, New York, État de New York, États-Unis

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Saturne 30 mars 2024 - 11:01

Cherchant un job de vacataire à Sc Po, j’ai été voir Richard Descoing. L’entretien s’est mal déroulé car il est apparu que l’élargissement des candidatures des étudiants pour R.D. visait à élargir son cheptel de conquêtes. Bien peu démocratique, cette méthode. J’ai dû me faire traiter de fasciste, de nazi, etc. M. Descoing est mort à New-York, plus tard, entouré de jeunes éphèbes. Il voulait certainement contribuer au rayonnement de Sc Po parmi la jeunesse de Brooklyn et du Bronx.

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Mathieu Réau 30 mars 2024 - 4:18

Je ne suis pas sûr que se retrouver mort dans un appartement de Manhattan soit de près ou de loin inhérent à la fonction de directeur de Sciences Po, mais, pour le reste, vous avez entièrement raison !
Cette école est devenue une véritable poubelle, à l’avant-garde du naufrage promis à notre enseignement secondaire et dans le droit sillage, donc, des grandes universités américaines, Harvard dont la désormais ex-présidente plagiaire et incompétente était incapable de décider en commission sénatoriale si tenir des propos antisémites est contraire ou non au règlement de l’école en tête.
Pour bien faire, il faudrait que de telles écoles n’aient plus aucun débouché. Que plus personne ne vienne embaucher dans ce vivier d’emmerdeurs militant à temps plein pour les idées les plus idiotes que notre temps ait conçues… Mais le chantier est vaste, n’est-ce pas ?

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Jean-Aymar de Sékonla 30 mars 2024 - 7:33

Mais qui sont ces gens qui s’arrogent le droit d’imposer leurs délires?
Ils sont complètement stériles et ne créent rien. Ils sont juste capables d’ingurgiter un savoir idéologique et de le recracher violement, tous fiers d’avoir trouvé un prétexte leur permettant de meubler leur vide intérieur.
Ils n’ont pas décollé de l’Age des cavernes ou leurs homologies devaient déjà exister et emmerder ceux qui œuvraient pour maitriser le feu.
Evidement ils s’auto proclament progressistes… quand on n’a pas la chose, on a les mots !

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; 30 mars 2024 - 7:41

Ce ne peut être la faute que des profs. Ils ont enseigné toutes les mauvaises choses plutôt que d’enseigner les bonnes, qu’ils ne se plaignent pas, pour la plupart, ils sont fautifs avec leurs pratiques de gauche, écriture inclusive, éléments trans genre, tout est sélectionné pour abaisser le niveau de tout afin que nous filions tous comme des moutons, ils veulent faire de nous une sorte de robot pour nous faire filer comme des moutons

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Broussard 30 mars 2024 - 8:10

Le nivellement par le bas…
ne commence-t-on pas à en voir les bienfaits ?
Christian B.

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Berzud 30 mars 2024 - 10:42

Compte tenu de leur comportement ils se maudissent eux même. Ce n’est pas une fatalité c’est un choix de vie délibéré qui ne tient pas compte de la responsabilité qui leur est confiée.
Encore un simple gène concret de la profonde décadence de notre société.

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Oncpicsou 13 avril 2024 - 9:25

Sciences po… mais qu’est-ce que le mot science vient faire ici?
Manip po, Enfumage po, Baratin po, Endoctrinage po, Tromper le peuple po etc… les qualificatifs justes ne manquent pourtant pas!
Il est vrai qu’on leur apprend que « quand on n’a pas la chose on a les mots » !

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