Les politiques ne parlent que de la réindustrialisation du pays – le gouvernement vient de nommer à cet effet des « commissaires » – et les rapports parlementaires ne cessent de suggérer de nouvelles aides ou des mesures protectionnistes. Pourtant, nos dirigeants qui n’ont que l’Europe à la bouche devraient lire les enquêtes de la Commissions de Bruxelles. L’une des dernières en date (Eurostat, octobre 2011) est consacrée à l’industrie et la France est parmi les plus mauvais élèves de la classe : 10ème pour ce qui est de la productivité (bien derrière l’Allemagne, les Pays-Bas et le Royaume-Uni), 16ème en termes d’innovation et 21ème pour ce qui est des réglementations. Si l’on veut sauver l’industrie française, mieux vaut la libérer que l’aider.
Les politiques ne parlent que de la réindustrialisation du pays – le gouvernement vient de nommer à cet effet des « commissaires » – et les rapports parlementaires ne cessent de suggérer de nouvelles aides ou des mesures protectionnistes. Pourtant, nos dirigeants qui n’ont que l’Europe à la bouche devraient lire les enquêtes de la Commissions de Bruxelles. L’une des dernières en date (Eurostat, octobre 2011) est consacrée à l’industrie et la France est parmi les plus mauvais élèves de la classe : 10ème pour ce qui est de la productivité (bien derrière l’Allemagne, les Pays-Bas et le Royaume-Uni), 16ème en termes d’innovation et 21ème pour ce qui est des réglementations. Si l’on veut sauver l’industrie française, mieux vaut la libérer que l’aider.