Un autre grand paradoxe du service public à la française : disposer de beaucoup d’argent et avoir beaucoup de dettes. C’est le cas du fameux Comité d’entreprises d’EDF qui a un budget de 470 millions d’euros mais qui vient d’annoncer des pertes s’élevant à 90 millions en 2010 après 33 millions d’euros en 2009. La Cour des comptes a souvent épinglé le fonctionnement de ce Comité.
Mais on n’a toujours pas su comment l’argent était vraiment utilisé… Par peur de représailles syndicales ?
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paradis sociaux
tant qu’il y aura des injustices entre les « salariés » ça ne pourra pas marcher. il faut que cela cesse. Ainsi que toutes les autres magouilles de ceux qui tirent les ficelles.