Le maire écologiste de Grenoble, Eric Piolle, a décidé de soutenir “Le mois décolonial ” avant de se rétracter. La manifestation était également soutenue par l’association Contre-courant de l’IEP de Grenoble, qui s’était singularisée par des propos diffamants à l’encontre de deux professeurs de l’établissement. L’événement devait permettre de promouvoir « la justice sociale et écologique » et « éduquer » les citoyens aux privilèges blancs et autres concepts chers à l’extrême-gauche. Deux invités stars ont déjà été annoncés par les organisateurs… Rokhaya Diallo et Taha Bouhafs, présentés comme des experts reconnus des thématiques décoloniales et racialistes.
Comment un élu de la République a-t-il pu apporter, même pour peu de temps, son soutien à un évènement faisant l’apologie de la haine de la culture française et du racisme anti-blancs ? Même la LICRA s’est inquiétée de la montée d’une nouvelle forme de racisme et de haine qui ne dit pas son nom.
Le maire, l’Université et l’IEP de Grenoble manifestent sans vergogne leur islamo-gauchisme et autres idéologies déconnectées de toutes réalités. Après l’annonce de leur soutien au « mois décolonial », des voix se sont élevées, du PS au RN, en passant par LR, pour condamner cette initiative. Piolle et consorts ont été obligés de retirer leur soutien à cette manifestation. Le bon sens a, cette fois, triomphé, mais l’évènement “mois décolonial” aura quand même lieu.