Dans une sorte de tragi-comédie digne des sketchs de Gaspard Proust, le porte-parole de Génération.s et ses amis insoumis ont dénoncé une agression odieuse à l’égard de la personne d’Alice Coffin. Mercredi dernier, un homme, somme toute normal, un brin provocateur aurait eu l’outrance de lui tendre un bouquet de fleurs. Curieux emploi du terme « agression » ! Cela relève davantage de la farce, voire d’une galanterie moqueuse. Ces cris d’orfraie ne doivent pas faire oublier les propos d’Alice Coffin qui appelait à tuer les hommes de nos imaginaires collectifs et qui désignait ceux-ci comme des meurtriers et des violeurs. N’est-ce pas plutôt ces déclarations d’Alice Coffin qui sont violentes et relèvent de l’agression ? Cette affaire met en lumière la misandrie désormais présente dans les propos politiques d’extrême-gauche.
Alice Coffin agressée, martyrisée et violentée par… un bouquet de fleurs !
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