L’IREF est cité dans le Point, dans un article de Kévin Badeau.
C’est l’insulte politique suprême. Celle qui vous range dans le camp des méchants, des immoraux, des sans-cœur et des oppresseurs. Celle qui pique désormais plus fort qu’une accusation en extrémisme. Celle qui jette le discrédit. Olivier Faure (Parti socialiste), Sandrine Rousseau (Europe Écologie – Les Verts) ou encore Alexis Corbière (La France insoumise) : tous ont un jour qualifié de « libérale » l’action politique d’Emmanuel Macron. Un gros mot auquel ils adjoignent volontiers les préfixes « néo » et « ultra », comme pour en rajouter une couche. « Néolibérale », quand l’attaque concerne une mesure économique jugée pro-marché à l’excès ; « ultralibérale », pour déplorer la réduction de l’État à sa portion congrue…
Citations choisies :
« Il n’y a que les faux libéraux pour croire que Macron est libéral », s’étrangle Nicolas Lecaussin, directeur de l’Iref, un cercle de réflexion libéral.
« N’est pas libéral celui à la tête d’un pays champion du monde de la dépense publique et des prélèvements obligatoires », confirme Nicolas Lecaussin, auteur Des donneurs de leçons (éditions du Rocher, 2019).
Certains pensent que le mal est déjà fait. « Avec Macron, la puissance publique se mêle de tout ! peste Nicolas Lecaussin, de l’Iref. Alimentation biologique dans les cantines scolaires, “bébé box” pour les jeunes parents… L’État nous dit désormais ce que nos enfants doivent manger et comment nous devons nous en occuper ! »
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