Plusieurs de nos activités sont le fruit d’un arbitrage entre le risque de perdre la vie et l’envie ou la nécessité d’agir malgré tout : circuler sur les routes, fumer… Pour Jean-Philippe Delsol, le confinement aujourd’hui pose la même question : jusqu’à quand pouvons-nous rester enfermés pour sauver des vies, nos vies, tout en sachant que chaque jour de confinement supplémentaire réduit d’autant notre capacité de rebond économique, et par ricochet notre survie à long terme également ?
Lire la suite dans Les Echos (10 avril).
Confinement : jusqu’où peut-on aller ?
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