Providing basis for decisions through focus on relevance, expert background, scenarios predictions
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Les partisans d’une union toujours plus étroite des Etats européens peinent régulièrement à répondre à une question simple : pourquoi l’UE ne remplit-elle pas l’une des tâches fondamentales d’une union, à savoir assurer conjointement la sécurité de ses membres et leur représentation extérieure ?
Dormir occasionnellement dans un appartement en colocation, se faire conduire de l’aéroport au centre-ville, déménager avec l’aide d’une bande d’étudiants : de plus en plus de personnes ont recours aux offres diverses et souvent bon marché des plateformes numériques telles que Airbnb, Uber ou TaskRabbit. Bien que leur poids économique soit encore modeste, le recours aux livraisons a bondi pendant la pandémie et il pourrait encore augmenter.
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Le futur de Taïwan dans une nouvelle rivalité globale.
Il aura lieu le mercredi 12 mai à 14h00.
L’Europe ne peut se permettre une politique étrangère mal conçue. Il est urgent de mettre en place une institution pragmatique, probablement en dehors de l’architecture de gouvernance de l’UE, pour améliorer la position internationale de l’Europe, sa marge de manœuvre et ses perspectives de sécurité.
Pour jouer un rôle politique international à la mesure de son poids économique et démographique, l’Europe doit acquérir les capacités appropriées en matière de politique étrangère et de sécurité. Cette tâche nécessite la création d’un nouveau centre politique, peut-être en dehors du cadre institutionnel existant de l’Union européenne.
Le jugement du 5 mai 2020 de la Cour constitutionnelle fédérale allemande de Karlsruhe fut sévèrement critiqué par les médias.
Les pays nordiques ont la réputation d’être les pionniers de l’État-providence. Ils sont régulièrement en tête des classements relatifs à la qualité de vie, notamment en ce qui concerne le revenu par habitant, les soins de santé, l’éducation et l’absence de corruption.
L’accord sur le nucléaire de 2015 avec l’Iran, annulé en 2018 par l’administration Trump, n’a pas permis de remédier aux interventions déstabilisantes de Téhéran au Moyen-Orient. Un nouveau cycle de négociations a débuté ; mais sans stratégie solide, les puissances occidentales pourraient à nouveau conclure un accord précipité qui laisserait plusieurs pays à la merci de la subversion iranienne…
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Les grandes transformations en Afrique subsaharienne: les perspectives pour 2021
Il aura lieu le Jeudi 22 avril 2021, à 15h00.
Libérer la force du marché libre et l’esprit d’entreprise est la seule voie possible pour l’Europe. Au lieu d’imiter le système de planification centrale chinois, l’Occident doit revenir aux valeurs qui ont fait sa puissance et sa prospérité : l’innovation, la liberté et l’esprit d’entreprise. Ce n’est qu’à cette condition qu’il pourra relancer ses économies mal gérées et renforcer sa position dans le monde.
La technologie n’est en soi ni bonne ni mauvaise. Elle peut être utilisée de manière bénéfique ou néfaste pour la société.
L’innovation suscite toutefois des craintes, car beaucoup ne comprennent pas suffisamment les nouvelles technologies et les avantages qu’elles apportent. Les gens craignent que les technologies qui permettent de gagner en efficacité et en productivité ne leur fassent perdre leur emploi. Ces craintes ont été très importantes lorsque l’électricité a commencé à être maîtrisée, ou quand on a inventé la machine à vapeur et les voitures à moteur. Pourtant, ces révolutions industrielles ont eu l’effet inverse : la libération de nouvelles formes d’énergie et de machines a permis d’accroître la productivité, les revenus et la prospérité générale. De nouveaux types de demande économique ont donné naissance à de nouveaux emplois et à de nouvelles professions, souvent dans des secteurs qui n’existaient pas auparavant.
Lorsque le nom de Christine Lagarde, ancienne directrice générale du Fonds monétaire international (2011-2019), fut évoqué pour la première fois dans la course à la présidence de la BCE, certains ont craint qu’elle ne dispose pas de l’expertise technique de son prédécesseur. Mario Draghi, un économiste chevronné du MIT, a dirigé la Banque centrale italienne avant de prendre ses fonctions en 2011. Contrairement à lui, Mme Lagarde, juriste et politicienne française, n’avait jamais conçu de politique monétaire avant de rejoindre la BCE. C’est également le cas du vice-président Luis de Guindos. Même s’il est économiste de formation, l’ancien ministre espagnol de l’économie semble être plutôt une figure politique sur la table d’honneur de la BCE.