L’affaire du ClimateGate ainsi que l’intrusion violente des activistes de Greenpeace à l’Assemblée nationale montrent le vrai visage du militantisme écologique actuel. On n’est plus dans l’analyse rationnelle des faits et des arguments chiffrés mais dans le bâillonnement de ceux qu’on appelle les « scientifiques sceptiques » à l’égard de la théorie du réchauffement climatique. Ils sont nombreux mais ils ont du mal à faire connaître leurs conclusions. La censure exercée par une grande partie des médias ne fait que s’ajouter à l’atmosphère générale de peur instaurée par les politiques en général et les écologistes en particulier. On entend tous les jours les mots « débat », « tolérance », « ouverture » et pourtant rarement un pays a pratiqué avec autant d’acharnement la censure idéologique. Il est interdit de contester le phénomène du réchauffement sous peine de bannissement. Avis aux amateurs !
L’IREF a déjà publié plusieurs articles sur le sujet et va continuer le combat contre ce terrorisme idéologique. Il ne faut pas laisser la protection de la nature aux mains des idéologues et des activistes violents et inconscients.
