Cela fait déjà un certain temps que le dénigrement des retraités est devenu le dernier sport à la mode dans les sphères politiques et médiatiques notamment. Ils sont tour à tour:
– accusés de parasitisme puisque c’est bien connu, ils vivent sur le dos des actifs, comme si leurs cotisations passées comptaient pour du beurre tout simplement parce qu’elles ont financé en leur temps les pensions de leurs parents qui, eux, n’avaient que peu ou jamais cotisé ;
– jalousés pour leur train de vie à partir de publicités touristiques notamment qui font croire que les croisières luxueuses et les voyages lointains sont l’ordinaire des couples de retraités, tous bien entendu souriants, bronzés et en parfaite santé (alors qu’on sait selon la DREES qu’en France et pour 2018, l’espérance de vie sans incapacité s’élève à 64,5 ans pour les femmes et 63,4 ans pour les hommes);
– traités d’égoïstes uniquement préoccupés de leur confort personnel, de leur bien-être et ne rêvant que d’amasser toujours plus, de préférence en sacrifiant les jeunes générations.
social
La PMA pour toutes est de retour au Sénat. Oui, on ne peut que se réjouir des progrès de la médecine lorsqu’il s’agit de soigner des maladies, de trouver rapidement…
Troisième confinement : attention à la colère qui monte
La récente vague de soulèvements à travers le monde provoquée par l’annonce de mesures sanitaires restrictives est particulièrement inquiétante alors que l’hypothèse d’un troisième confinement se précise en France. Des…
Un sondage Gallup effectué dans les jours qui ont suivi la certification du vaccin de Pfizer et BioNTech montrait que seuls 63 % des Américains acceptaient d’être vaccinés contre le Covid-19. La situation est similaire dans les autres pays occidentaux. Un article publié par Nature Medicine en octobre dernier a rendu compte d’une enquête auprès de 13 426 personnes dans 19 pays sur leur acceptation ou non du vaccin et les raisons de leur choix. 71,5 % des participants ont déclaré qu’ils seraient susceptibles de se faire vacciner contre le COVID-19.
Fraude sociale au Royaume-Uni : entre 1.1% et 1.5 % du montant total des aides !
La fraude sociale étant par nature un phénomène non déclaré, on peut penser que vouloir l’estimer est impossible. Pourtant l’exemple britannique démontre le contraire.
En effet, le Royaume-Uni a développé une approche qui fait figure d’exemple. Le Department for Work and Pensions (DWP), antenne du ministère du Travail chargée de l’ensemble des aides sociales du pays, incarne la transparence sur ce sujet.
Depuis 2010, tous les services sociaux britanniques y sont regroupés, ce qui garantit une gestion plus sérieuse et des contrôles plus faciles.
La crise sanitaire a mis en sommeil nombre de projets gouvernementaux. Emmanuel Macron a décidé « que toutes les réformes en cours seraient suspendues à commencer par la réforme des retraites ».
Année record pour les dons privés en Amérique. Les 10 dons les plus importants en 2019 se sont élevés à 6,2 milliards de dollars, en hausse de 8% par rapport à 2018. Ils ont été versés à un large éventail de causes et provenaient d’hommes et de femmes de droite (Jim Walton, Karen Huntsman) comme de gauche (George Soros, Eric Schmidt).
La question est provocatrice bien sûr et ne cherche à enlever ni aux tourments des personnes qui ont commis ce geste fatal ni à la peine et la douleur de leurs familles. Mais elle mérite d’être posée car elle est sur beaucoup de lèvres et personne ne l’ose.
A l’Académie de médecine qui, à une très large majorité de 69 voix sur 80 exprimées, a déclaré que « la conception délibérée d’un enfant privé de père constitue une rupture anthropologique majeure » et n’est « pas sans risques » pour son « développement psychologique », Agnès Buzyn a répondu que “considérer qu’il y a un lien direct entre défaut de construction de l’enfant et famille monoparentale est faux” et que “heureusement on arrive à se construire même quand on est élevé par un parent seul”.
Nous vous proposons ci-après la lecture d’un article publié sur notre site anglais et traduit librement, mais fidèlement dans l’expression, par nos soins. L’auteur de cet article, le chercheur italien Léonardo Baggiani, montre avec quelle prudence il faut prendre les résultats des études et expériences en sciences sociales. L’économie apparaît ainsi plus que jamais comme une science qui a besoin d’avancer par essais et erreurs dans la réalité de l’action humaine plus qu’en laboratoire. Ce qui relativise aussi toutes les études d’impact qui précèdent désormais tous les projets de lois.