Roselyne Bachelot, ministre de la Culture, était l’invitée des 4 vérités sur Télématin mercredi 10 février, où elle a répété la rengaine désormais favorite de l’État : “ne vous inquiétez…
réglementation
Une histoire banale. Elle se situe dans un immeuble modeste d’une ville moyenne. Il s’agit d’un petit logement avec un petit loyer. Ayant été occupé pendant des années, il est aujourd’hui en mauvais état. Au départ du dernier locataire, le propriétaire décide d’entreprendre des travaux lourds de rénovation, dont notamment le remplacement de tous les châssis vitrés par des doubles vitrages, l’isolation des murs, la mise aux normes de l’électricité, etc. Cette démarche était contraire à l’avis des agents immobiliers ayant visité l’appartement, ils ont souligné que cet investissement ne pourrait être amorti avant 20 ou 30 ans. Peu importe. Notre propriétaire, pas un professionnel de l’immobilier, peu argenté mais scrupuleux, tenait à remettre sur le marché un logement mieux que simplement « digne » comme on dit actuellement. Il le souhaitait vraiment agréable à vivre pour ses futurs locataires.
Le 18 juin 2019, Facebook annonçait au monde sa volonté de travailler sur une devise numérique internationale : Libra. Si cette monnaie devait voir le jour, elle serait administrée par une association indépendante de la firme californienne, basée en Suisse. Depuis, cette annonce n’a cessé de faire grincer les dents de nombreuses personnes. Économistes keynésiens, ministres, banquiers centraux et politiciens se relaient pour conspuer l’ambition de Mark Zuckerberg qui, le23 octobre, a été interrogé à Washington par des membres du Congrès. Quels sont les arguments employés par les sceptiques et les opposants ?
Malgré les réformes de Macron, la France a le marché du travail le plus rigide des pays développés
La crise des gilets jaunes a évincé la lutte contre le chômage de l’agenda politique français. Le chômage demeure pourtant un fléau pour l’hexagone. Un fléau d’autant plus insupportable que la France fait de plus en plus figure d’exception. La plupart des grandes économies de l’OCDE ont éradiqué le chômage du vocabulaire politique.
Les startups ne révolutionneront pas l’immobilier sans remise à plat réglementaire
L’hôtellerie avec AirBnB, la mobilité avec BlablaCar, la distribution avec Amazon, nombreux sont les secteurs dans lesquels des entrepreneurs ont changé nos habitudes. L’immobilier fait pour le moment exception. Face à un tel immobilisme, les startups peuvent-elles pallier les déficiences du marché ?
Lors de sa déclaration de politique générale, Edouard Philippe a annoncé que le paquet de cigarettes allait être porté progressivement à 10 euros, ce qui représente une hausse de près de 40%. Ce faisant, le Premier ministre s’inscrit dans la continuité politique de ses prédécesseurs, de gauche comme de droite, qui ont opéré des hausses régulières et modérées de ce dernier. D’un point de vue théorique, la hausse du prix du paquet de cigarettes pourrait constituer une opération positive pour l’Etat, dès lors qu’elle viendrait augmenter ses recettes fiscales tout en faisant diminuer la consommation de tabac. Force est toutefois de constater que certains effets pervers, tels que les achats transfrontaliers et la contrebande viennent contrecarrer cette analyse.
Les « affaires » ont émaillé de tout temps la vie politique. Évoquons simplement le scandale de Panama (1892), l’affaire des emprunts russes (1918), l’affaire Stavisky (1933), celle des avions renifleurs (1975) ou des diamants de Bokassa (1979).
La Commission européenne a présenté le 31 mai ses propositions pour un nouveau « paquet routier », autrement dit ses projets de réforme pour le transport routier. Comme d’habitude, on y trouve un peu de tout, du bon (ce qui concerne la libéralisation), et du moins bon (notamment sur les aspects sociaux). On retrouve là les « équilibres habituels » liés aux divergences entre l’Europe de l’Est, plus libérale, et l’Europe de l’Ouest, plus régulatrice.
Pour les politiques français mis en cause dans des affaires, il faut d’abord « laisser la justice faire son travail ». Ensuite, si la décision de justice leur est défavorable, ils se considèrent victimes d’un acharnement, d’une cabale et assurent qu’ils vont à tout prix démontrer leur innocence. Il est vrai aussi qu’avec le « mur des cons », on a pu remarquer une certaine coloration politique dans les rangs de notre justice.
Le capitalisme de connivence est à son paroxysme quand règne le socialisme de connivence. La France en offre un bel exemple en obligeant les entreprises à faire des dépenses de publicité inutiles pour financer certains journaux !