Tandis que François Hollande, comme un despote qui craint le peuple, se barricade au palais de l’Elysée en interdisant la rue Saint Honoré aux voitures, son gouvernement aux abois s’emploie à multiplier les mesures tendant à museler l’expression des Français et jusqu’à leur conscience avant que ne sonne l’hallali. Il faut s’opposer à toutes ces attaques !
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Victoire ! Des députés proposent une loi pour mettre en place la Flat Tax en France
Hervé Mariton ainsi qu’une vingtaine d’autres députés ont déposé, jeudi 7 juillet, une proposition de loi relative à l’instauration d’un impôt universel et proportionnel. Elle fait partie d’une stratégie globale de baisse des prélèvements obligatoires qui serait permise par la baisse des dépenses publiques. Plus de cent ans après l’introduction de l’actuel impôt sur le revenu, cette proposition est un pas important pour la modernisation de notre fiscalité et de notre économie.
La droite extrême ressemble parfois à la gauche et engrange des voix sur tous les terrains en trompant souvent son monde. Mais alors que le Front national s’affiche résolument étatiste et collectiviste, Robert Ménard, maire de Béziers, fait briller une petite lueur différente et pourtant paradoxale. Jean-Philippe Delsol analyse les programmes présentés par l’un et l’autre au travers d’une part d’un commentaire de l’ouvrage de Maël de Calan « La vérité sur le programme du Front national » et d’autre part d’une présentation critique des cinquante mesures proposées par le rassemblement curieusement intitulé « Oz la droite » qui veut réhabiliter l’identité française en la baptisant dans une orthographe digne de certaines banlieues.
La France est riche: la preuve, après les 840 millions d’Ecomouv, voici donc à nouveau le milliard de déficit de l’assurance-chômage des intermittents du spectacle. « A nouveau », car à la différence des 840 millions gaspillés une fois pour toutes sur nos routes, les quelque 1 031 millions engrangés en 2010 par les intermittents du spectacle se renouvellent et parfois même se creusent chaque année. Qu’on en juge plutôt à la lumière des 10 observations qui suivent et qui cernent tout autant l’étendue du problème que l’impropriété de la solution qu’on prétend lui donner.
De la révolte des Canuts à Lyon en 1831 à celle des taxis depuis quelques mois, il n’est pas rare que les secteurs affectés par une vague d’innovation fassent la une de l’actualité. Hier les tisserands, aujourd’hui les chauffeurs de taxi. La colère de ces derniers contre Uber et son application UberPop, qui permet de mettre en relation des chauffeurs occasionnels avec des personnes qui souhaitent se déplacer, est une excellente représentation de l’affrontement entre le souci de préserver une rente (car elle permettrait de protéger l’emploi) et l’innovation (force motrice de la croissance économique).
L’article de Lucas Léger consacré au chômage structurel français est cité dans le Manuel d’économie de Terminale ES chez Magnard (2015).
La Cour des Comptes vient de publier un rapport intitulé « Le logement en Ile-de-France : donner de la cohérence à l’action publique » dans lequel elle épingle la gestion des bailleurs publics franciliens. Derrière l’euphémisme de bienséance du titre, on trouve des critiques sévères à l’encontre du logement social francilien, mais qui pourraient très bien s’adresser à tout le système locatif public français. La Cour des comptes part du même constat que celui fait par l’IREF dans son Etude comparative sur le logement social : le parc public ne remplit plus sa mission. Ceux qui en ont le plus besoin n’en profitent pas.
A l’occasion de la discussion de la loi Macron ces derniers jours, le Sénat a fait preuve d’un incroyable conformisme doublé d’une totale incompréhension de l’économie. La majorité de droite y a proposé un nombre important d’amendements en faveur d’un contrôle toujours renforcé de l’économie par l’Etat. Le plus insensé et le plus symbolique de la doxa commune aux élus, de droite ou de gauche, est celui qui a été présenté notamment par M. Rétailleau, président du groupe UMP et ferme soutien de M. Fillon dans sa candidature à la présidence de la République, ce qui laisse mal augurer de son prétendu libéralisme.
L’article de Jean-Philippe Delsol est publié dans Le Figaro Magazine du 3 avril.
La petite colline de la loi Macron a accouché en première lecture de souriceaux en bien des domaines. Tant pis pour les vraies réformes que ce projet avait envisagées. Tant mieux pour les dispositions attentatoires des libertés qui y sont désormais édulcorées. C’est le cas pour les régimes de retraite à prestations définies, dits « retraites chapeau » qui faisaient l’objet d’un acharnement pas très thérapeutique du ministre. Celui-ci avait souhaité leur suppression dans son projet initial. Finalement, le texte amendé ne prévoit que de « mieux encadrer le dispositif » …