C’est une victoire : le nombre d’analphabètes dans le monde ne cesse de baisser. A l’occasion de la journée internationale de l’alphabétisation (8 septembre), examinons un peu le chemin qu’emprunte…
jeunesse
Covid : environ 45 % des personnes hospitalisées en août ont moins de 60 ans (États-Unis)
Le Covid devait être la maladie des « vieux ». Il est vrai que c’est parmi les seniors qu’on compte le plus de malades et de victimes du virus. Néanmoins,…
Les enfants n’aiment pas les récréations dégenrées de Grégory Doucet
Nouvel épisode de la saga « les écolos contre le monde » : les cours de récréation dégenrées chères à Grégory Doucet. Alors que le maire de Lyon visitait l’une des écoles…
Les emplois d’avenir ont été mis en place en 2012 pour faire face au chômage endémique des jeunes. Prescrits par les missions locales, ils étaient réservés aux 16-25 ans sans diplôme ou titulaires d’un CAP-BEP ayant été à la recherche d’un emploi pendant 6 mois au cours des douze derniers mois. Contrairement aux autres contrats aidés, dont la durée était comprise entre six mois et deux ans, les emplois d’avenir s’étalaient sur une période d’un à trois ans. L’État versait une aide aux employeurs plus importante dans le secteur non-marchand (75 % du SMIC) que dans le secteur marchand (35 %). Le coût annuel brut d’un contrat d’avenir rémunéré au SMIC sur la base d’un temps plein à 35 h était de 24 807 euros. Le coût par emploi pour les finances publiques était de 12 831 euros au titre de l’aide de 75 % sur le salaire brut et de 4 807 euros au titre des exonérations de charges patronales. Il convient d’ajouter le coût restant à la charge de l’employeur, soit 7 276 euros, lorsque cet employeur n’était pas une structure publique. En partant de l’hypothèse que les créations de ces emplois d’avenir seraient réparties pour 2/3 dans le secteur non marchand et 1/3 dans le secteur marchand, le coût total annuel moyen pour les finances publiques a donc été de 23 015 € par contrat. Dans la mesure où le dispositif a été clôturé en 2018, il est temps d’en dresser le bilan.
Allocation de rentrée scolaire : et si Blanquer avait raison ?
La dernière inquiétude de Jean-Michel Blanquer, qui disait sur France info craindre que les allocations de rentrée scolaire ne soient utilisées pour acheter des écrans plats, ne passe pas. Les…
Au pays de la macronie, le discours est tranchant, beau, parfois libéral mais les actes sont décevants, coûteux et trop socialistes. Ce président capable de dire, avec justesse, que la…
La CAF (Caisse d’allocations familiales) a annoncé que l’allocation de rentrée scolaire sera versée à partir du 17 août à près de trois millions de familles. Le montant de l’allocation…
Le “revenu d’engagement”, nouvelle trouvaille de Macron pour distribuer l’argent du contribuable
Les militants de l’Unef sont désespérés. Plus de repas à 1€ pour les jeunes, et toujours pas de RSA. Le gouvernement voudrait forcer les jeunes à travailler ou à se…
«La dépendance aux aides sociales n’aide pas à se construire en tant qu’adulte responsable»
Dans la perspective de l’élection présidentielle et de propositions d’aides séduisantes faites aux jeunes, Adélaïde Motte, ancienne étudiante précaire, estime dans une lettre ouverte aux politiques que la précarité étudiante apprend la responsabilité et la liberté.
Opération « quartiers d’été 2021 » : 50 millions d’euros dépensés pour payer des vacances aux jeunes de banlieue
Conformément à la volonté du président la République, exprimée dans son discours des Mureaux, l’exécutif s’apprête à dépenser 50 M€ pour des loisirs estivaux à destination de 600 000 jeunes…