« Socialismo o Muerte » était la devise du dictateur Fidel Castro. Il a apporté les deux sur l’île de la Cuba, en janvier 1959, accompagné de Che Guevarra et de ses « barbudos ». Pénuries, pauvreté, meurtres, épuration, prisons politiques, Castro a été fidèle aux caractéristiques du totalitarisme communiste.
interventionnisme
Certaines des propositions du candidat Fillon en matière de décentralisation semblent a priori aller dans le bon sens. L’urgence d’une « autre logique » ne fait aucun doute. Mais M. Fillon doit encore mieux définir les contours d’une politique de la liberté et de la responsabilité en matière de décentralisation.
L’élection de Trump signifie le rejet des systèmes étatiques et l’aspiration à une libération de l’Etat sauf pour celui-ci à assurer la sécurité, intérieure et extérieure.
L’Agence des participations de l’Etat (APE) vient de publier son rapport d’activités 2015-2016. Ce document de 130 pages, consacré à démontrer que l’Etat est un « actionnaire exemplaire », révèle en réalité un Etat omniprésent, mauvais gestionnaire, privilégiant le court terme et dont le portefeuille perd de la valeur. La vraie question qu’il n’aborde pas est simple : rien ne justifie, en économie de marché, que l’Etat soit actionnaire.
La France a fait le choix de longue date de préférer le subventionnement de l’emploi et le traitement social du chômage à la libéralisation du marché du travail. Or, le traitement social du chômage conduit à enfermer les demandeurs d’emploi et les entreprises dans la tutelle étatique, dénature le prix du travail dans le secteur privé et entraîne des effets d’aubaine. Le coût exorbitant des dispositifs d’aide au retour à l’emploi (10,5 Mds € selon un rapport de la Cour des comptes) entretient le gaspillage de l’argent public sans s’attaquer aux causes réelles du chômage. Il est temps de mettre fin à ces mesures archaïques socialistes et de comprendre qu’une reprise massive de l’emploi ne peut être conditionnée par de tels dispositifs. C’est bien la compétitivité économique des entreprises et une forte productivité du travail de la main d’œuvre qui peuvent entraîner la reprise de l’emploi, certainement pas de telles rustines étatiques.
Il vaut sans doute mieux parfois un bon roman plutôt qu’un épais livre d’économie pour vous convaincre que la liberté et la responsabilité individuelle valent mieux que le collectivisme. C’est le pari très réussi d’Yves Bourdillon avec son roman Souriez, vous êtes ruiné publié aux Editons du Rocher en avril dernier.
La Banque Centrale Européenne a décidé, le 4 mai, de mettre fin, en 2018, à l’impression de billets de 500 euros. Officiellement, il s’agit de lutter contre le grand banditisme et le terrorisme, qui utilisent largement ces coupures. Mais les arrières pensées sont moins avouables. A terme c’est la monnaie papier qui pourrait être visée.
Le Venezuela, pourtant l’un des principaux pays producteurs de pétrole au monde, entre dans une phase de profonde crise économique et politique qui s’est encore davantage amplifiée ces derniers jours. L’économie vénézuélienne souffre depuis une quinzaine d’années du socialisme, hérité de Hugo Chavez. Aujourd’hui, avec l’effondrement de la croissance et l’hyper-inflation, le chavisme apparaît comme le plus court chemin vers la pauvreté.
Depuis les ministres jusqu’au Président de la République, en passant par le gouverneur de la Banque de France, les critiques ne cessent de s’abattre sur la justice américaine qui demande à la BNP – banque privée – jusqu’à 10 Mds de dollars d’amende, en même temps qu’une interdiction temporaire de traiter les transactions en dollars.
Les débats entre les candidats aux européennes des différents partis français sont très animés, mais néanmoins contradictoires. Pourtant, très peu de choses différencient leurs programmes quand on les regarde attentivement.