Début 2013, l’IREF avait tiré le signal d’alarme sur la hausse du nombre de français qui quittent la France et surtout sur leur profil. Voici qu’un nouveau Rapport du gouvernement…
Belgique
Les travaux de l’IREF sont largement cités dans le quotidien belge De Standaard (13/08) qui insiste sur les difficultés de la classe politique française à mettre en place les réformes…
L’Etude de l’IREF consacrée aux systèmes de santé étrangers est commentée (30 avril) sur le site de la revue Décision Santé. Lire l’article.
Une analyse terrible de la recherche française a été publiée par Les Echos du 19 mai. L’auteur insiste sur la « paupérisation de la recherche » en France, sur sa bureaucratisation excessive et sur… la « précarité grandissante parmi les trentenaires », elle-même cumulée avec un nombre de postes en baisse sensible. Ces derniers constats mériteraient quelques précisions.
Manuel Valls l’a dit dans son Discours de politique générale. Et le ministre des Finances, Michel Sapin, l’a également rappelé dans une déclaration sur Europe 1 : « L’euro «trop…
Depuis plusieurs années, il y a une nouvelle vague d’émigration qui n’obéit pas au simple exil fiscal. Ce sont des jeunes, diplômés et dynamiques, qui quittent la France. C’est ce que soulignent deux rapports récents, confirmant les travaux de l’IREF bien connus grâce à l’ouvrage de Jean Philippe Delsol : « Pourquoi je vais quitter la France ».
Début 2013, l’IREF avait attiré l’attention sur l’augmentation du nombre d’exilés fiscaux, en estimant qu’ils étaient 3 fois plus nombreux qu’en 2012. Il avait aussi insisté sur le fait qu’il s’agissait là d’une nouvelle génération d’exilés, dans la mesure où les contribuables qui partent maintenant sont – des actifs plus jeunes et moins fortunés. Dotés d’une moyenne d’âge de 54 ans, ce sont de nombreux chefs d’entreprises qui fuient l’instabilité fiscale française en montrant leur préférence pour un environnement économique plus stable ailleurs. L’ouvrage de Jean Philippe Delsol, administrateur de l’IREF « Pourquoi je vais quitter la France » (éd. Tatamis) a présenté une synthèse saisissante des divers aspects de ce fléau.
Baisse des dépenses publiques, diminution du nombre de fonctionnaires, réduction des impôts : tous les pays ont réagi à la crise de façon salutaire. Bien souvent ce sont les plus touchés qui ont réalisé les réformes les plus drastiques ; aujourd’hui ils s’en sortent. Pourquoi pas la France ?
Cette note, rédigée par Lucas Léger, chercheur à l’IREF et auteur d’un ouvrage récent sur la mondialisation, rappelle l’irréalisme et les dangers du « protectionnisme modéré » à la mode dans les médias. Non, la mondialisation ne crée pas le chômage, ne diminue pas les salaires et n’accroît pas les inégalités.
L’Etude que vient de réaliser la New Direction Foundation apporte un éclairage très inquiétant sur les vraies conséquences de la mise en place d’une taxe sur les transactions financières : des centaines de milliers d’emplois seraient détruits.
C’est un thème récurrent à l’IREF : le fisc français tue la poule aux œufs d’or et à trop taxer les sociétés il récolte moins d’argent. Voici des arguments chiffrés de nature à ôter le moindre doute : les pays qui ont la main fiscale la plus douce en sont récompensés.