La suppression du CESE serait une excellente chose. Beaucoup de membres sont des apparatchik d’organismes déjà subventionnés ! Autre suppression possible, la Direction Générale des entreprises (DGE) au ministère des Finances qui « conçoit et met en œuvre les politiques publiques concourant au développement des entreprises ». Et cela pour plusieurs raisons :
1) Pas de résultat visible, depuis que la direction existe (la DGE résulte de la fusion, en 2005, de la direction générale de l’industrie, des technologies de l’information et des postes (DiGITIP) et de la Direction de l’action régionale et de la petite et moyenne industrie (DARPMI), la compétitivité se détériore,
2) L’utilité souhaitée serait de contrer les mesures anti-productivité des autres services et des autres ministères, donc une activité presque uniquement interne à l’administration ; dans l’entreprise, c’est ce qu’on appelle ‘l’entreprise fantôme », source de coûts sans production.
3) Une armée mexicaine, le Directeur général et les 6 ou 7 Directeurs de services ont chacun leur adjoint, l’effectif atteint environ 1150 agents dont 640 en administration centrale, et 510 au niveau régional à travers les DREETS
4) En cas de fermeture pure et simple, le personnel pourrait être réutilisé dans le ministère en économisant autant d’embauches nouvelles, sauf bien entendu les Directeurs qui devraient retourner dans leur corps d’origine, dans l’inspection générale…à défaut de créer pour eux une nouvelle agence de l’Etat !