Nicolas Lecaussin, directeur de l’Institut de Recherches Économiques et Fiscales, répond aux questions de Dimitri Pavlenko. Ensemble, ils reviennent sur la colère des grands patrons français qui ont décidé de prendre la parole à l’image de Bernard Arnault.
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4 commentaires
On fait fuir nos cerveaux et on accueille des illettrés… quelle chance pour la france!
Et les français de gauche qui applaudissent l’augmentation des impôts des entreprises ? Ils n’ont pas encore compris qu’une entreprise a qui on augmente l’impôt va reporter sur le prix de ses produits la hausse d’impôts et augmenter ses prix .Au final les citoyens payeront plus cher et ils vont hurler contre la hausse des prix …LOL
La solution existe, elle s’appelle la Bulle Parens Scientiarum.
Concernant M. Arnault, je me réjouis qu’il prenne enfin la parole. Son journal “Les Echos” (tout comme celui de son gendre M. Niel “Le Monde”) propose depuis des années une ligne socialo-keynésienne et wokiste. Il est grand temps d’en sortir. Le public français aurait plutôt besoin de lire les pamphlets de Frédéric Bastiat dans ses journaux ! … Ceci-dit, dans le même discours, M. Arnault parle de “subventions à l’installation des entreprises en Amérique” : ce n’est pas là du libéralisme mais du capitalisme de connivence. C’est prêter le flan à la juste critique des socialistes. Donc, commençons par nous appliquer le libéralisme (de stricte obédience) à nous-mêmes. Enfin… si les choses vont dans le bon sens.