Il a été au journal « Le Monde » et maintenant il écrit une chronique dans « Le Point ». Il a reçu de la part de l’ALEPS le prix du « journaliste libéral ». En France, c’est un « spécimen » trop rare pour ne pas en parler : Pierre-Antoine Delhommais défend le libéralisme économique. Dans une de ses dernières chroniques (2 février), il dénonce l’attitude « affligeante » des politiques qui n’ont rien compris à la crise et s’en prennent aux banques et aux marchés financiers.
Il a été au journal « Le Monde » et maintenant il écrit une chronique dans « Le Point ». Il a reçu de la part de l’ALEPS le prix du « journaliste libéral ». En France, c’est un « spécimen » trop rare pour ne pas en parler : Pierre-Antoine Delhommais défend le libéralisme économique. Dans une de ses dernières chroniques (2 février), il dénonce l’attitude « affligeante » des politiques qui n’ont rien compris à la crise et s’en prennent aux banques et aux marchés financiers.